4/ RENCONTRE : Azzedine Gaci " Le dialogue islamo-chrétien est essentiel"
Alors là, je vous vois, les athées, les mécréant(e)s entrain de porter un jugement sur moi; non, ne jugez pas trop vite et plutôt lisez cet article en cliquant sur le lien du départ; la lecture est tout à fait possible à la page 4.
Aussi, je pense qu'aujourd'hui, il faut avoir l'esprit "ouvert" sur d'autres cultures, d'autres mondes; ne pas juger trop vite; ce qui n'est pas toujours facile; car beaucoup ont une fâcheuse tendance à faire un jugement rapide !
Je ne fais ni le Carême, ni le Ramadan.
Je ne me positionne pas, il y a tant de paramètres à considérer; je préfère encore admirer Nénesse, qui reste "ZEN"
La Haine est le tonneau des pâles Danaïdes ; La Vengeance éperdue aux bras rouges et forts A beau précipiter dans ses ténèbres vides De grands seaux pleins du sang et des larmes des morts,
Le Démon fait des trous secrets à ces abîmes, Par où fuiraient mille ans de sueurs et d'efforts, Quand même elle saurait ranimer ses victimes, Et pour les pressurer ressusciter leurs corps.
La Haine est un ivrogne au fond d'une taverne, Qui sent toujours la soif naître de la liqueur Et se multiplier comme l'hydre de Lerne.
- Mais les buveurs heureux connaissent leur vainqueur, Et la Haine est vouée à ce sort lamentable De ne pouvoir jamais s'endormir sous la table.
interrogez-vous sur la présence de cette vache qui vole
Vous me rappelez ces mots de Félix Leclerc :" Cinq fils électriques en face de sa maison et les hirondelles dessus, comme des notes sur une portée de musique. Elles écrivent de jolies chansons, au printemps c'est plein de thèmes à symphonies qui bougent. "
N'allez pas vous imaginer que c'est un poisson d'avril
?
ras le bol peut-être
?
total
fatal
de
ne
pas
voir
Le Printemps
aussi
c'est ici
que se termine le long chemin parcouru avec vous
12 : 05
mon amie
est
solidaire
Au revoir...
J'en ai marre... Marre du mari qui me colle aux baskets comme une sangsue sur le dos d'un asthmatique, marre des enfants ingrats qui laissent seuls leurs vieux parents pour la 1ere fois le jour de…
En avril, ne te découvre pas d'un fil! Et bien, rien à craindre! Qu'il pleuve à Pâques, nous en avons l'habitude! Je me souviens que la plupart du temps, j'ai caché les chocolats de Pâques habillée…
Sous moi donc cette troupe s'avance, Et porte sur le front une mâle assurance. Nous partîmes cinq cents; mais par un prompt renfort Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port, Tant, à nous voir marcher avec un tel visage, Les plus épouvantés reprenaient de courage ! J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés, Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés; Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure, Brûlant d'impatience, autour de moi demeure, Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit Passe une bonne part d'une si belle nuit. Par mon commandement la garde en fait de même, Et se tenant cachée, aide à mon stratagème; Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous. Cette obscure clarté qui tombe des étoiles Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles; L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort Les Maures et la mer montent jusques au port. On les laisse passer ; tout leur paraît tranquille; Point de soldats au port, point aux murs de la ville. Notre profond silence abusant leurs esprits, Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris; Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent, Et courent se livrer aux mains qui les attendent. Nous nous levons alors, et tous en même temps Poussons jusques au ciel mille cris éclatants. Les nôtres, à ces cris, de nos vaisseaux répondent; Ils paraissent armés, les Maures se confondent, L'épouvante les prend à demi descendus; Avant que de combattre ils s'estiment perdus. Ils couraient au pillage, et rencontrent la guerre; Nous les pressons sur l'eau, nous les pressons sur terre, Et nous faisons courir des ruisseaux de leur sang, Avant qu'aucun résiste ou reprenne son rang. Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient, Leur courage renaît, et leurs terreurs s'oublient La honte de mourir sans avoir combattu Arrête leur désordre, et leur rend leur vertu. Contre nous de pied ferme ils tirent leurs alfanges; De notre sang au leur font d'horribles mélanges. Et la terre, et le fleuve, et leur flotte, et le port, Sont des champs de carnage où triomphe la mort. Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres, Où chacun, seul témoin des grands coups qu'il donnait, Ne pouvait discerner où le sort inclinait ! J'allais de tous côtés encourager les nôtres, Faire avancer les uns et soutenir les autres, Ranger ceux qui venaient, les pousser à leur tour, Et ne l'ai pu savoir jusques au point du jour. Mais enfin sa clarté montre notre avantage; Le Maure voit sa perte, et perd soudain courage Et voyant un renfort qui nous vient secourir, L'ardeur de vaincre cède à la peur de mourir. Ils gagnent leurs vaisseaux, ils en coupent les câbles, Poussent jusques aux cieux des cris épouvantables, Font retraite en tumulte, et sans considérer Si leurs rois avec eux peuvent se retirer. Pour souffrir ce devoir leur frayeur est trop forte; Le flux les apporta, le reflux les remporte; Cependant que leurs rois, engagés parmi nous, Et quelque peu des leurs, tous percés de nos coups, Disputent vaillamment et vendent bien leur vie. À se rendre moi-même en vain je les convie : Le cimeterre au poing ils ne m'écoutent pas; Mais voyant à leurs pieds tomber tous leurs soldats, Et que seuls désormais en vain ils se défendent, Ils demandent le chef; je me nomme, ils se rendent. Je vous les envoyai tous deux en même temps; Et le combat cessa faute de combattants.
Calme un peu ces transports fébriles, ma charmante.
Même au fort du déduit parfois, vois-tu, l’amante Doit avoir l’abandon paisible de la sœur.
Sois langoureuse, fais ta caresse endormante, Bien égaux tes soupirs et ton regard berceur. Va, l’étreinte jalouse et le spasme obsesseur Ne valent pas un long baiser, même qui mente !
Mais dans ton cher cœur d’or, me dis-tu, mon enfant, La fauve passion va sonnant l’olifant ! ... Laisse-la trompetter à son aise, la gueuse !
Mets ton front sur mon front et ta main dans ma main, Et fais-moi des serments que tu rompras demain, Et pleurons jusqu’au jour, ô petite fougueuse !
vous allez vous dire : "elle nous a déjà fait le coup"
Effectivement, cela ne fera qu'une fois de plus, mais aussi une fois de moins, pas facile tous les jours d'être opérationnelle, enthousiaste, efficace, se donner des coups de pieds au "cul", est-ce une bonne méthode ?
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Ce blog a été créé pour être une porte ouverte sur le Monde, où chacun(e) peut rentrer sans frapper, déposer quelques mots. Mon journal de bord au gré de mes idées,mes envies,de mes coups de cœur. Bon voyage sur ce chemin.Tous droits réservés