Souvenir heureux du vendredi 26 septembre 08 à Roanne 42....
Notre très cher ami Bernard Saliba " Directeur du Théâtre de Roanne" fêtait sa retraite, son épouse Annie a composé et chanté pour lui ...sur l'air de "Tu verras" Nougaro .
http://www.youtube.com/watch?v=g5PLtaQCRCA
* Ah, tu verras, tu verras
Ce boulot, c’est pour moi, tu verras, tu verras
La biennale de la danse, oui, je m’y vois déjà
Je serai Lucifer aux portes de l’enfer
Ce rôle est fait pour moi, je n’en fais pas mystère
Le café de minuit, c’est une idée super
Des coupes de champagne, en veux tu en voilà
Ca n’se refuse pas Tu verras, tu verras !
Mais hormis Saliba au café de minuit
Y avait peu d’spectateurs attablés avec lui
Malgré l’affiche en vue au bas des escaliers
Pour attirer du monde
** Ah ! Tu verras ! Tu verras !
A moi les subventions, tu verras ! Tu verras !
D’l’état et d’la région, tu verras ! Tu verras
Je cr’èv’rai les budgets pour faire tous les projets
Que j’veux réaliser ces prochaines années
Les gars des abattoirs, y pouvaient plus le voir
Eux qu’y’ étaient maquignons S’faisaient piquer l’pognon
Me manquent dix mille euros pour boucler le budget
Fini Télérama, suppression des bouquets
Donne moi donc des boutons, achète nous du café
Faut qu’je réduise les frais pour boucler les tournées
Et attirer du monde
*** Ah ! tu verras ! Tu verras !
Le Dôme on refera, tu verras ! Tu verras !
Lire, c’est vraiment extra, surtout à haute voix
Ce soir je n’serai pas là, je retrouve Kafka
Et pendant tout l’été, ce s’ra karaoké
Pour mettre de l’ambiance, s’il faut, je chanterai
Les pauses musicales, vendredi à midi
Ca va marcher très fort, j’y ai bien réfléchi
Aujourd’hui, je n’peux pas m’balader avec toi
Car je tombe de sommeil, m’en veux pas ! M’en veux pas !
Ce soir, je n’irai pas rendr’ visite aux Coupas
Car je suis hors du monde
**** Ah ! Tu verras ! Tu verras !
Chaque soir, l’Olympia, tu verras ! Tu verras
Une vie de gala, tu verras ! Tu verras !
On en rencontrera des gens talentueux
Des routards de la vie, des jeunes et des vieux
Je prendrai des congés où et quand je voudrai
Et je t’emmènerai sur les plages dorées
Là bas où il fait chaud à l’ombre des palmiers
En guise de palmiers, j’ai r’gardé la télé
Quant aux jours de congé, j’préfèr pas en parle
Car une fois encor’ je risque de m’énerver
Et ça devant tout l’monde
***** Ah ! Tu verras ! tu verras !
Bobino c’est extra, tu verras ! Tu verras !
Paris, c’est fait pour toi, tu verras ! tu verras !
Tu verras l’Opéra, les Bouffes parisiens
Et les champs Elysées, le théâtre Mathurin
Et tu t’endormiras, tu verras, tu verras
Dans les bras de Guitry Ah ! Quelle chance tu as !
Tu côtoieras Béjart, Lucchini et son chat
Tu reliras Balzac, Courteline et Kafka
Lucchini, je l’ai vu, je l’ai même entendu
S’en prendr’ au directeur, invectiver l’barbu
Au beau milieu du monde
******Ah ! tu verras ! Tu verras !
Le « in » à Avignon, tu verras, tu verras !
Sous un ciel étoilé, tu verras, tu verras,
Embaumé de jasmin, des parfums de l’été
Avec une petite brise qui vient nous chatouiller
Je t’y emmènerai, tu verras ! Tu verras !
Et tu découvriras Ah ! Quelle chance tu as !
Ceux qui jouent en ces lieux presque bénis des dieux
Saliba m’y a emmenée par une porte détournée
Et aussitôt un chien sur nous s’est élancé
Mais plus de Saliba, il avait déserté
Me laissant seule au monde
******* Ah ! Saliba ! Saliba ! Tu verras ! Tu verras !
Zappa, Bentolila, Agora, Barraca !Tu verras ! Tu verras !
Baccara ! Armada ! Tu verras ! Tu verras !
Caramba, Anita, Tu verras ! Tu verras !
Et puis Esmeralda Tu verras ! Tu verras !
Sans oublier Mechta, Medina, et Chorba
Djellaba et Nouba, casbah et Nirvana
Vendetta et Baba et puis Barbapapa
Et surtout marijuana
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Toi , mon Salib' grand ami rencontré à Beaujeu en septembre 1974 , avant Raymond, avant Annie (ta petite Annie= ta choupette) nous avons vécus des moments fantastiques , toi , l'image de mai 68, moi , l'handicapée rescapée de mai 68, quel beau tandem de choc ...mais la vie pour nous tous n'a pas été un long fleuve tranquille, des épreuves très douloureuses....mais nous étions tous les 4 et l'amitié toujours omniprésente pour Georges, Pierre, Thomas..
Nous serons toujours là.
Toi qui était si cher à mon père ....
10 ans...Papounet tu nous quittais pour un voyage qui t'appartient..
Texte extrait de Prions en l'Eglise, 27 septembre 2008 . Saint Vincent de Paul
L'homme s'en va vers sa maison d'éternité.
La mort est la limite dernière de la vie, mais elle est aussi ce qui s'expérimente déjà dans la vie elle-même à travers toutes les expériences de vieillissement ou de faiblesse.
Tout homme s'en va lentement vers sa maison d'éternité...dont Dieu seul connaît le secret. Telle est la définition de l'homme : le marchant vers la mort.
Vivre, c'est marcher vers la fin.
C'est cette expérience de la mort qui scelle la vanité de toute chose selon l'Ecclésiaste. " Vanité des vanités, tout est vanité."
Sur le seuil de sa maison
Sur le seuil de sa maison, Notre Père t'attend
Et les bras de Dieu S'ouvriront pour toi
Quand les portes de la vie S'ouvriront devant nous,
Dans la paix de Dieu, Nous te reverrons.
Par le sang de Jésus-Christ Par sa mort sur la croix,
Le pardon de Dieu, Te délivrera
L'eau qui t'a donné la vie Lavera ton regard
Et tes yeux verront Le salut de Dieu.
Quand viendra le dernier jour A l'appel du Seigneur
Tu te lèveras Et tu marcheras
Comme à ton premier matin Brillera le soleil
Et tu entreras Dans la joie de Dieu.
Microcosmos, Le Peuple de l'Herbe .01
Microcosmos, Le Peuple de l'Herbe .01
Vidéo envoyée par Pistou-jours3
~§~ Microcosmos : le peuple de l'herbe ~§~ Une heure quinze sur une planète inconnue : la Terre redécouverte à l'échelle du centimètre. Ses habitants : des créatures fantastiques, les insectes et autres animaux de l'herbe et de l'eau. Ses paysages : forêts impénétrables des touffes d'herbe, gouttes de rosée grosses comme des ballons... Il s'agit d'explorer cette terre nouvelle - une simple prairie - durant une journée d'été ; un jour, une nuit et la naissance d'un second matin. Mais une seule journée, c'est l'équivalent d'une saison dans ce micro-monde. Un pan entier de vie lorsque, comme les insectes, on a une existence qui se mesure en semaines En Playlist:
http://www.dailymotion.com/video/x64isr_mc-le-peuple-de-lherbe-2_animals
http://www.dailymotion.com/video/x64hmg_mc-le-peuple-de-lherbe-03_animals
http://www.dailymotion.com/video/x64hoe_mc-le-peuple-de-lherbe-04_animals http://www.dailymotion.com/video/x64fp4_mc-le-peuple-de-lherbe-05_tech http://www.dailymotion.com/pistou4you
http://www.dailymotion.com/Pistou-jours3/
http://www.dailymotion.com/playlists/Pistou-jours3
Rémi et Marilyn , composition d'une belle chanson par Anne....
C’était un jour pas ordinaire, Rémi
Le 6 octobre 86, Rémi,
Le Pape aussi était venu
On était tous très très émus
Par ce géant et ce petit.
On le trouvait plutôt joli, Rémi
Avec son teint et son sourire, Rémi
Il a quitté ses p’tits amis
Bien trop pressé d’croquer la vie
Et d’avoir enfin un chez lui.
Michèle, c’était sa maman, Rémi
Raymond devenait son papa, Rémi
Ils ont donné sans hésiter
Un peu d’eux mêmes à leur bébé
En le nommant leur p’tit Rémi.
Ouh, Marilyn, Marylène, Marylou
Ce beau prénom, on le chante, il est doux
chez les Ramain, c’est la joie cette gamine
Ouh, Marylou, Marylène, Marilyn
Ouh, Marilyn Marylène, Marylou
Etre grande sœur, en voilà un atout
Elle ouvre son cœur bien sympa la frangine
Ouh, Marylou, Marylène, Marilyn
Ouh,Marilyn Marylène, Marylou
Chang’ment d’école, la voilà ballotée
La réussite, elle l’a bien méritée
Ouh, Marylou, Marylène, Marilyn...
Et notr’Rémi découvre la vraie vie
Copains d’école et des amis aussi
Une petit’ jeune il a remarquée
Plutôt jolie et réservée
Il a trouvé sa bien aimée.
Et puis les années ont passé Rémi
Le bac en poche, il a filé Rémi
Pour continuer à étudier
Le son deviendra son métier
Pour tout’ la vie il s’ra branché.
Ouh, Marilyn Marylène, Marylou
Ton p’tit ami, c’est Rémi, ton chéri
quand tu le vois, t’es conquise, t’es ravie
Ouh, Marylou, Marylène, Marilyn...
Ouh, Marilyn Marylène, Marylou
Fin du lycée, il revient te chercher
Pour t’emmener dans son p’tit nid perché
Ouh, Marylou, Marylène,
Marilyn
Ouh, Marilyn, Marylène, Marylou
la volonté, les joies d’la faculté
C’est décidé, ton choix c’est d’enseigner
Ouh, Marylou, Marylène, Marilyn.
Et les voilà dans leur appart, les p’tits
qui de leurs mains s’est fait joli, les p’tits
Pour Marilyn, l’origami
Et pour Rémi, sortir Charlie
Et c’est ainsi qu’ira la vie.
Et bonne route pour la vie, les p’tits
Continuez à vous aimer les p’tits
A tous les 2 on dit merci
A vous parents bien sur aussi
Sans lesquels on n’serait pas ici.
Tout l’monde les trouve vraiment gentils , les p’tits
Ils se sont dits : oui pour la vie, les p’tits
Et l’enfant qui naîtra un jour
Aura la couleur de l’Amour
L’Amour si fort qu’il dure toujours.
A.N Belleville, le 20 septembre 2008
Trop vite passé ...si fort en émotion , le bonheur ....
Merci à tous qui par leur présence à la Mairie,à l'Eglise , par la pensée, par le biais de ce blog, par des envois de fleurs, par une aide précieuse..... étaient là pour que cet heureux évènement soit le plus beau jour de la vie d'un nouveau couple : Marilyn et Rémi CHENAUD !
Une très belle journée inoubliable...déjà quelques photos sont arrivées . Merci à Georges , l'époux de la marraine de Rémi .
20 septembre 2008 " JOUR J "
Michèle et Raymond Chenaud
9 bis rue de Peillon
69220 Belleville
sont heureux de vous faire part du mariage de leur fils Rémi
avec Marilyn Ramain
le 20 septembre 2008 à
15h Mairie de Belleville 69220
16h30 cérémonie religieuse en l'Eglise de Montceaux 01090
Ils rappellent à votre souvenir l'anniversaire du décès de Robert Dessard
27 septembre 1998/ 27 septembre 2008
père de Mme Chenaud née Dessard
grand-père adoré de Rémi .
Demain !!!
Quand le futur "beau-père" abonde à tout !!!
27 mars 1976 "Michèle et Raymond" se mariaient à Condrieu...
Une petite récréation , pendant les préparatifs du mariage de Rémi & Marilyn.
Oui je repense , avec nostalgie à "mon Condrieu"...où j'ai vécu de 1948 à 1971...
Que de souvenirs ! Qui reviennent vite en mémoire !
Des bons moments, d'autres plus tristes, mais globalement , je l'aime toujours "Mon-Condrieu" ..des prénoms : Jean-Louis, Danièle, Gigi, Gilles, Fifine, Myriam,...Paulette et tant d'autres.
Nous habitions au n° 8 de la Rue Crémaillère, à deux pas de l'Eglise et de la maison de la Gabelle.
Les bords du Rhône n'étaient pas comme aujourd'hui, les côteaux...la montée de la Caille.
Vous voyez: je devais laisser "tomber" mon blog, quelques temps, mais , non !