L’événement de l’Ascension se situe quarante jours après Pâques.

Le livre des Actes des Apôtres rapporte que, pendant toute cette période, le Christ s’est plusieurs fois montré aux apôtres.

Puis, au cours d’un repas qu’Il prenait avec eux, le Christ leur a annoncé qu’ils allaient recevoir une force, « celle du Saint-Esprit », qui viendrait sur eux. « Alors vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre », a-t-Il ajouté (Actes des Apôtres 1, 8).

« Après ces paroles, ils le virent s’élever et disparaître à leurs yeux dans une nuée. Et comme ils fixaient encore le ciel où Jésus s’en allait, voici que deux hommes en vêtements blancs se tenaient devant eux et disaient : " Galiléens, pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel ? Jésus, qui a été enlevé du milieu de vous, reviendra de la même manière que vous L’avez vu s’en aller vers le ciel » (Actes des Apôtres 1, 9-11).

L’évangéliste Luc précise quant à lui que les apôtres « retournèrent à Jérusalem, remplis de joie » (Luc 24,52).

Source : Site Internet de la Conférence des Evêques de France

église St Martin à Dunkerque

Une pensée pour Sonia qui accompagne dans son dernier voyage sa "tatie" ....

jusqu'à lundi ......

n°27

(ceux qui suivent mon blog se souviendront du n° 19 )

PROFITEZ DE VIVRE DES TEMPS REMARQUABLES

Malgré toutes les microcrises qui vous affectent, la véritable crise se déroule en coulisse : c’est le désastre écologique mondial en attente alors que le réchauffement planétaire suit une courbe exponentielle et que la pollution

anéantit toute vie connue en dehors des rats et des araignées. Je ne cherche pas à vous inquiéter mais à mettre en relief l’absurdité de ce qui retient votre attention, comparé à l’énormité des véritables problèmes.

La clé de la santé mentale -un élément précieux à cultiver en ces temps troublés- n’est pas de vous focaliser sur la peur des choses qui ne se produiront peut-être jamais (après tout, nous parviendrons peut-être à nous sortir de ce guêpier) au point d’en perdre la raison, mais de vous centrer en respirant en conscience. Soyez conscient de votre corps, et rappelez-vous d’être reconnaissant de l’air que vous respirer, de l’eau que vous buvez, des aliments que vous mangez, de l’électricité et du pétrole que vous brûlez. Soyez en même temps conscient que tout pourrait disparaître en un clin d’œil à tout instant, maintenant. Comportez-vous ainsi et chaque minute que vous passerez ici sera remarquable.

Vous profitez maintenant de vivre des temps remarquables

" respirez à pleins poumons devant ces dernières photos"

vous pouvez aussi allez déposer vos voeux chez Agathe (comme au Tibet)

http://www.agathejolybois.net/article-drapeaux-de-prieres-au-tibet-arbre-a-voeux-a-jolybois-50203124-comments.html#anchorComment

La terre est au soleil ce que l'homme est à l'ange.
L'un est fait de splendeur; l'autre est pétri de fange.
Toute étoile est soleil; tout astre est paradis.



Autour des globes purs sont les mondes maudits ;
Et dans l'ombre, où l'esprit voit mieux que la lunette,
Le soleil paradis traîne l'enfer planète.


L'ange habitant de l'astre est faillible ; et, séduit,
Il peut devenir l'homme habitant de la nuit.
Voilà ce que le vent m'a dit sur la montagne.
Tout globe obscur gémit; toute terre est un bagne
Où la vie en pleurant, jusqu'au jour du réveil,
Vient écrouer l'esprit qui tombe du soleil.
Plus le globe est lointain, plus le bagne est terrible.
La mort est là, vannant les âmes dans un crible,
Qui juge, et, de la vie invisible témoin,
Rapporte l'ange à l'astre ou le jette plus loin.
Ô globes sans rayons et presque sans aurores !
Enorme Jupiter fouetté de météores,



Mars qui semble de loin la bouche d'un volcan,
Ô nocturne Uranus, ô Saturne au carcan !
Châtiments inconnus! rédemptions! mystères !
Deuils! ô lunes encor plus mortes que les terres !
Ils souffrent; ils sont noirs; et qui sait ce qu'ils font ?
L'ombre entend par moments leur cri rauque et profond,
Comme on entend, le soir, la plainte des cigales.
Mondes spectres, tirant des chaînes inégales,
Ils vont, blêmes, pareils au rêve qui s'enfuit.
Rougis confusément d'un reflet dans la nuit,


Implorant un messie, espérant des apôtres,
Seuls, séparés, les uns en arrière des autres,
Tristes, échevelés par des souffles hagards,
Jetant à la clarté de farouches regards,
Ceux-ci, vagues, roulant dans les profondeurs mornes,
Ceux-là, presque engloutis dans l'infini sans bornes,
Ténébreux, frissonnants, froids, glacés, pluvieux,
Autour du paradis ils tournent envieux ;




Et, du soleil, parmi les brumes et les ombres,
On voit passer au loin toutes ces faces sombres.

Victor Hugo, novembre 1840, Les contemplations.

cette photo servira de support à mon écriture

sur mon "à-michemin" j'ai rencontré tant de monde , qu'il me faut faire le point

1/ virage : oui j'ai décidé depuis vendredi 7 mai de reprendre mon prénom Michèle ; en effet "mitelle", "la miche" , "miche", "pélagie", "mimi"...des surnoms, des pseudos qui collent à la peau , le dernier je l'efface , je tire un trait dessus , terminé "mimi" ! s'il reste quelques incorrigibles , je ne sortirai pas mes crocs !

2/ mirage : dans mon texte ce mot aura une grande importance , vous le découvrirez si vous lisez ma note bleue !

3/ rivage : vous comprendrez qu'une bouteille à la mer , échoue la plupart de temps sur un rivage.

&

avec cette note je vais participer à une sorte de "jeu d'écriture "

originaire du blog

http://lesmotsdepascale.canalblog.com/archives/2010/05/08/17803239.html

Mimi n'est plus , Michèle retrouve son vrai prénom ,

le net arrive d'être un piège où les personnes comme moi , se font prendre dans une toile d'araignée inimaginable, la rencontre d'un enfant bleu , qui est toujours resté au stade de nymphe, qui n'arrive pas à passer dans le monde imago : stade final du développement d'un insecte ptérygote, refusant de vivre ce grand moment de la métamorphose qui ferait de lui un adulte , même si dans ses veines un sang bleu continuerait de couler .Cet enfant bleu s'est lié à moi , par le biais du virtuel, des échanges qui furent au demeurant riches , mais dont je ne suis pas sortie indemne , mais métamorphosée en homme bleu.

Sortir d'un chemin , pour aller vers un autre n'est pas chose aisée, l'enfant bleu s'accrochait à moi l'homme bleu du désert où les mirages , font rage
l'homme bleu ne sait pas arrêté cette fois ci, il a continué sa route avec sa caravane de dromadaires assoiffés, jusqu'à trouver l'oasis du salut , de la liberté, du repos mérité
l'enfant a souffert, continue de souffrir , transporté par les vagues d'un océan bleu , où dans les abysses tout est bleu, de chimères en sirènes, l'enfant bleu se laisse bercer et n'arrive pas à trouver un rocher pour s'accrocher ; pourquoi la vie est ainsi faite ?
J'ai pris mon beau stylo-plume , rempli d'encre bleue , qui sent le bleuet

J'écris sur du papier de soie
qui se déchire sous la plume
tel est le destin dicté par la vie
dans les yeux de l'enfant bleu des larmes bleues

coulent, et n'en finissent pas de verser des perles bleues
sur son visage plus pâle
que l'opale
il faudrait qu'un petit prince arrive

pour sécher cette rivière de larmes
avant qu'elle atteigne l'océan
avant que les vagues
noient cet enfant bleu
qui rêve sur son nuage bleu
il a pourtant trouvé derrière une grille peinte en bleu
une petite maison bleue adossée à la colline

mais pour combien de temps
?
restera -t-il en exil, blotti dans des murs bleus
battus par les vents océaniques !
la nymphe va peut-être comprendre
que le moment est venu
d'atteindre le stade imago
de prendre son envol
comme un bel oiseau bleu

qui se moquera de son passé
et prendra le beau stylo gorgé d'encre bleue
pour écrire des mots bleus
et chasser au loin tous ses maux

toi l'enfant bleu
dans l'iris bleu de tes yeux
une lumière va briller,
va t'éclairer , pour te conduire
vers un nouveau rivage
tu auras réalisé
que la vie est belle
même pour toi
qu'il ne faut pas toujours croire aux mirages
mais écouter les sages
qui ne connaissent que ton visage
sorti des nuages bleus

visage/mirage
dessiné sur le sable blanc
qui connaissent ta voix douce
par le téléphone qui ne sonnera plus

le stylo-plume sera ton rédempteur
encre bleue
papier de soie ou d'arménie
tu pourras encore écrire
contre l'oubli
tu pourras aussi boire un bon thé aux fleurs bleues
préparé avec amour dans la belle théière bleue

" le thé des écrivains"

Michèle

"Demain le 8 mai 1845, j'ai écrit cette note ce matin, une manière de rendre hommage à tous ces héros de la Deuxième Guerre mondiale et notamment à tous ces jeunes. En écrivant cette note j'ai pensé à Claude Ribet dont le père Auguste Ribet, puisatier, avait accueilli une famille espagnole, je pense aussi à Luigi Guérinet, ils comprendront à la lecture de cette note ..

Bonne lecture à tous …

Pat …."

en cliquant ci-dessous vous pourrez lire sa note

http://www.patrickdelaplacetrinquet.eu

je vous ajoute :

QUELQUES IMAGES

http://www.youtube.com/watch?v=2KFU7-U4Sgk&feature=youtube_gdata

Pétales de pivoine
Trois pétales de pivoine
Rouges comme une pivoine
Et ces pétales me font rêver

Ces pétales ce sont
Trois belles petites dames
À peau soyeuse et qui rougissent
De honte
D’être avec des petits soldats

Elles se promènent dans les bois
Et causent avec les sansonnets
Qui leur font cent sonnets

Elles montent en aéroplane
Sur de belles libellules électriques
Dont les élytres chatoient au soleil

Et les libellules qui sont
De petites diablesses
Font l’amour avec les pivoines
C’est un joli amour contre nature
Entre demoiselles et dames

Trois pétales dans la lettre
Trois pétales de pivoine.

*

Quand je fais pour toi mes poèmes quotidiens et variés
Lou je sais bien pourquoi je suis ici
À regarder fleurir l’obus à regarder venir la torpille aérienne
À écouter gauler les noix des véhémentes mitrailleuses

Je chante ici pour que tu chantes pour que tu danses
Pour que tu joues avec l’amour
Pour que tes mains fleurissent comme des roses
Et tes jambes comme des lys
Pour que ton sommeil soit doux

*

Aujourd’hui Lou je ne t’offre en bouquet poétique
Que les tristes fleurs d’acier
Que l’on désigne par leur mesure en millimètres
(Où le système métrique va-t-il se nicher)
On l’applique à la mort qui elle ne danse plus
Mais survit attentive au fond des hypogées

*

Mais trois pétales de pivoine
Sont venus comme de belles dames
En robe de satin grenat
Marquise
Quelle robe exquise
Comtesse
Les belles f…es
Baronne
Écoutez la Mort qui ronronne
Trois pétales de pivoine
Me sont venus de Paris

(Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou, ch. LII)

(photos de l'Internaute , sauf la dernière offerte par mon amie Anne)

Pat en vidéo
http://www.dailymotion.com/video/xd6vkt_a-mi-chemin-de-ma-chere-mimi_webcam

19ème jour

PROFITEZ MAINTENANT DE LA PAIX PROFONDE DE L’ACCEPTATION

Il existe un lieu auquel vous pouvez accéder en vous quand vous avez levé le pied de la pédale de frein

depuis suffisamment longtemps pour vous glisser dans la circulation de l’existence comme un dauphin

sur roues, un lieu où même si ça bouchonne (les pressions de la vie sont intenses)

vous restez décontracté et vous vous laissez porter par le courant sans trop résister. Il faut pour cela que vous cessiez de vous apitoyer sur votre sort et d’être insatisfait de l’imperfection de la vie. Et vous ne pouvez y parvenir que si vous êtes prêt à vous fier à la bienveillance de la route.

Ainsi, même en plein embouteillage, vous éprouvez de la reconnaissance à être là où vous êtes supposé être ; et même si vous vous sentez submergé par les pressions extérieures, vous remerciez d’être là pour vivre cela.

Inspirez. Contemplez votre vie à l’intérieur et autour de vous. Dites merci.

Vous profitez maintenant de la paix profonde de l’acceptation.

ce 19 ème jour

que je veux partager avec vous qui venez ici

!!!

j'offre ce post à 2 amies qui fêtent leur anniversaire aujourd'hui !

suite à un commentaire censuré (post précédent)

il y a des jours

il y a des mois

il y a des mots

il y a des maux qui détruisent ...

                                                &

je dédie ce poème à....EX qui se sert de mon blog pour faire de la PUB, curieusement venu de Chine !

Exil

Si je pouvais voir, ô patrie,
Tes amandiers et tes lilas,
Et fouler ton herbe fleurie,
Hélas !

Si je pouvais, - mais, ô mon père,
O ma mère, je ne peux pas, -
Prendre pour chevet votre pierre,
Hélas !

Dans le froid cercueil qui vous gêne,

Si je pouvais vous parler bas,
Mon frère Abel, mon frère Eugène,
Hélas !

Si je pouvais, ô ma colombe,

Et toi, mère, qui t'envolas,

M'agenouiller sur votre tombe,
Hélas !

Oh ! vers l'étoile solitaire,
Comme je lèverais les bras !
Comme je baiserais la terre,
Hélas !

Loin de vous, ô morts que je pleure,

Des flots noirs j'écoute le glas ;
Je voudrais fuir, mais je demeure,
Hélas !

Pourtant le sort, caché dans l'ombre,
Se trompe si, comptant mes pas,
Il croit que le vieux marcheur sombre
Est las...

VICTOR HUGO

clin d'oeil au visiteur "chinois" et sa pub pour : nike !

n comme négatif

i comme inadmissible

k comme kung-fu

e comme entourloupe

que ces brins de muguet vous arrivent droit au coeur ...

Le 1er mai 1886, la pression syndicale permet à environ 200.000 travailleurs américains d'obtenir la journée de huit heures.

Le souvenir de cette journée amène les Européens, quelques années plus tard, à instituer une «journée internationale des travailleurs» ou «Fête des travailleurs». Cette journée est aujourd'hui plus volontiers appelée «Fête du Travail», bien que l'expression prête à confusion...

Joseph Savès

quel sens donnons -nous aujourd'hui

au mot

TRAVAIL

?

un vaste débat

difficile

à

ouvrir

!

le chômage

les 35 heures

grèves

départs à la retraite non remplacés

manque de personnel ici ou là

conditions de travail

dégradation par manque d'effectifs

départ vers l'étranger des entreprises

fermetures d'usines

" SARKO DU BOULOT"

http://www.saintjustdavray.free.fr/culture_locale/chant_du_mai.htm

aussi :

chantons le "mai"

comme à St JUST d'AVRAY

à environ 50 km de chez nous

je dédie cette note à tous, les travailleurs, retraités, chômeurs......

d'ici ou d'ailleurs