Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
poesie
1 août 2013

Un nouveau mois : août ! Retour sur des pensées.

1104http://fr.wikipedia.org/wiki/Ao%C3%BBt

1105

1704La nuit d'août (extrait)

par

Alfred de Musset

Ô
Muse ! que m'importe ou la mort ou la vie ?
J'aime, et je veux pâlir ; j'aime et je veux souffrir ;

J'aime, et pour un baiser je donne mon génie ;
J'aime, et je veux sentir sur ma joue amaigrie
Ruisseler une source impossible à tarir.

J'aime, et je veux chanter la joie et la paresse,
Ma folle expérience et mes soucis d'un jour,
Et je veux raconter et répéter sans cesse
Qu'après avoir juré de vivre sans maîtresse,
J'ai fait serment de vivre et de mourir d'amour.

Dépouille devant tous l'orgueil qui te dévore,
Cœur gonflé d'amertume et qui t'es cru fermé.
Aime, et tu renaîtras ; fais-toi fleur pour éclore.
Après avoir souffert, il faut souffrir encore ;
Il faut aimer sans cesse, après avoir aimé.

Publicité
Publicité
17 juillet 2013

Une plante de notre jardin ! Une belle acanthe.

27 juin 2013

Un clin d'oeil qui a de l'importance pour moi, et pour d'autres !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Joubert_%28moraliste%29

« Enseigner, c’est apprendre deux fois.  »

de Joseph Joubert

http://blogs.rpn.ch/classebob/citations/

« Enseigner, c’est influencer une vie pour toujours »

(Anonyme)…

enseigner20121212-234554

Photo : © Association Toutes à l’Ecole


Qu'as tu appris à l'école Graeme Allwright
 
Alors oui, j'ai aimé, adoré enseigner, je sais que pour certain(e)s le verbe adorer ne devrait pas être utilisé ici, tant pis, je persiste et signe, j'ai adoré, comme j'adore les fleurs, les arbres...et aujourd'hui je suis comblée parce que ma relève est assurée et cela me donne des ailes, je serais presque prête à voler, même avec mon petit péroné qui j'espère ne me fera pas le coup d'être encore fracturé le 28 juin prochain !
C'est bientôt la fin d'une autre année scolaire 2012 / 2013 s'achève, souhaitons que 2013 / 2014 s'annonce sous de bons auspices .
Quelques petits poèmes en cliquant sur le lien

barre de séparation avec une rose

mes 3 collèges
1/ Monsols (69)

collège de monsols819092665

1971 / 1972

depuis il a été entièrement reconstruit

mais aucun lien sympa

2 / Beaujeu (69)

1972 / 1984

DSCN5860

DSCN5795

DSCN5861

ces photos un jour de retrouvailles le 27 / 10 / 07

3/ mon dernier collège

Belleville (69)

1984 / 2004

l'histoire du "final" est connue

http://www2.ac-lyon.fr/etab/colleges/col-69/emile-zola/

après mon départ il a été entièrement rénové

et

accessible "handicap"

@

dernière constatation

il y a des collèges avec des sites très à jour, d'autres "rien" ...juste adresse, téléphone, et je pense que c'est dommage

19 juin 2013

Le vent ...

26 avril 2013

Les hirondelles ...ne sont pas de retour ! Où sont-elles passées ?

hirondelles

http://www.hirondelle.oiseaux.net/hirondelle.html

mon ami Olivier m'a ouvert la voie sur un sujet

http://blogoliviersc.org/?p=6556

je me souviens de mes jeunes années à Montceaux

courrier_hirondelle6

l'écurie du Moulin Contet

l'écurie du Reverdy chez Bernard

l'écurie de Félix

des nids d'hirondelles aussi bien à l'extérieur

qu'à l'intérieur

un ballet incessant à chaque printemps

Hirondelle_de_fenetre_1_1_

hirondelles et petits

hirondelle rustique 3 Fotolia_6322904_Subscription_L

mais à l'époque pas de photos

( donc photos prises sur le web )

les écuries existent toujours mais sans les vaches ni les hirondelles

Identification-hirondelles

l'une d'elle est même devenue une habitation

barre portée oiseau_art

je cite

Pierre

http://www.scoop.it/u/pierre-r-chantelois

 Vous me rappelez ces mots de Félix Leclerc :" Cinq fils électriques en face de sa maison
et les hirondelles dessus,
comme des notes sur une portée de musique.
Elles écrivent de jolies chansons, au printemps
c'est plein de thèmes à symphonies qui bougent. "

+

une belle chanson de Félix Leclerc


http://lapoesiequejaime.net/citations1.htm

*
Victor Hugo
(écrit le 27 septembre 1853)

Les hirondelles sont parties.
Le brin d'herbe a froid sur les toits ;
Il pleut sur les touffes d'orties.
Bon bûcheron, coupe du bois.

Les hirondelles sont parties.
L'air est dur, le logis est bon.
Il pleut sur les touffes d'orties.
Bon charbonnier, fais du charbon.

Les hirondelles sont parties.
L'été fuit à pas inégaux ;
Il pleut sur les touffes d'orties.
Bon fagotier, fais des fagots.

Les hirondelles sont parties.
Bonjour, hiver ! bonsoir, ciel bleu !
Il pleut sur les touffes d'orties.
Vous qui mourez, faites du feu.

*

je viens de voir où elles sont

http://onenparleici.over-blog.com/article-l-info-du-jour-les-hirondelles-sont-de-retour-116740255.html

Publicité
Publicité
13 avril 2013

La naissance, la vie, la mort ...

http://www.reussirmavie.net/Les-neuf-mois-avant-la-naissance_a104.html

L' Odyssée de la vie

Avez-vous 14 : 27 minutes à lui consacrer

?

 

FOETUS 28 semainesindex

Lorsque l'enfant paraît

Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.

Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre
Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre
Les chaises se toucher,
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire.
On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère
Tremble à le voir marcher.

Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme,
De patrie et de Dieu, des poètes, de l'âme
Qui s'élève en priant ;
L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie
Et les poètes saints ! la grave causerie
S'arrête en souriant.

La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure
Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure,
L'onde entre les roseaux,
Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare,
Sa clarté dans les champs éveille une fanfare
De cloches et d'oiseaux.

Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Quand vous la respirez ;
Mon âme est la forêt dont les sombres ramures
S'emplissent pour vous seul de suaves murmures
Et de rayons dorés !

Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,
Car vos petites mains, joyeuses et bénies,
N'ont point mal fait encor ;
Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange,
Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange
À l'auréole d'or !

Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche.
Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche.
Vos ailes sont d'azur.
Sans le comprendre encor vous regardez le monde.
Double virginité ! corps où rien n'est immonde,
Âme où rien n'est impur !

Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire,
Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,
Ses pleurs vite apaisés,
Laissant errer sa vue étonnée et ravie,
Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie
Et sa bouche aux baisers !

Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur ! l'été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants !

bébé 68d6d49fhttp://toutsedireavecdesmots.centerblog.net/11-un-bebe

Et puis nous grandissons

c'est la vie plus ou moins chaotique

http://suite101.fr/article/apprendre-a-nos-enfants-a-construire-leur-bonheur-a35759#axzz2QG8487p8


"Une plume divine écrit notre histoire, tâchons de la faire belle, disait St François de Sales"

facile à dire

pas facile à réaliser

alors

il faut souvent faire " avec "

si la plume est divine, elle n'en est pas moins vulnérable, fragile, c'est la vie

 

Plumes

 

ecriture-plume1

l'encrier se renverse

 

stock-photo-1055348-oil-body-silhouette

http://francais.istockphoto.com/photo-1055348-encre-renverser-encrier-ecrivain-goutte.php

la plume n'a plus d'encre pour continuer à écrire

la mort arrive sans s'annoncer

 

la morthttp://www.reflecritiques.com/2012/01/de-la-crainte-de-la-mort.html

bon dimanche au soleil

bon dimanche783754079_n

3 mars 2013

Chut bébé dort...mais il sourit aussi à la vie ! En bonne compagnie.

Ceux qui attendent les grandes occasions pour prouver leur tendresse ne savent pas aimer.
" L'amitié est un joyau dont le cœur est l'écrin."

bébé image0011

bébé image0022

bébé image0033

bébé image0044

bébé image0055

bébé image0066Clins d'oeil

à

Sonia pour les "toutous"

Rémi & Marilyn

LORSQUE L'ENFANT PARAIT

Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille

Applaudit à grands cris; son doux regard qui brille

Fait briller tous les yeux,

Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,

Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,

Innocent et joyeux.

Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre

Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre

Les chaises se toucher,

Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire;

On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère

Tremble à le voir marcher.

......................................................

Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire,

Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,

Ses pleurs vite apaisés,

Laissant errer sa vue étonnée et ravie,

Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie,

Et sa bouche aux baisers !

Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime,

Frères, parents, amis, et mes ennemis même

Dans le mal triomphants,

De jamais voir, Seigneur, l'été sans fleurs vermeilles,

La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,

La maison sans enfants !

Victor Hugo

&

Théo né en octobre 2012

Evan né en février 2013

Castille née en novembre 2012

une pensée aussi pour Louise qui a hérité du prénom de son arrière grand-mère

Mathis de ma Gigi né fin 2011

Mathis (un autre) qui grandit en attendant de venir en France

150c'est quand même incroyable

les garçons sont majoritaires

&

le "rire" d'un bébé

ps

je n'ai laissé qu'une photo personnelle, celle de Mathis né à Yaoundé

nous attendons tous son arrivée

bon dimanche chien petit garçonet

je

découvre

que

cette note

tombe

bien

c'est la fête des grands-mères

photo(3)

28 février 2013

Et le blog cessera ...avec la venue de Mars, faute de motivation. Sauf "exception" ! ! Vous en doutez ? Vous pouvez !

préambule

avec

Pierre Corneille

Sous moi donc cette troupe s'avance,
Et porte sur le front une mâle assurance.
Nous partîmes cinq cents; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port,
Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,
Les plus épouvantés reprenaient de courage !
J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés,
Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés;
Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,
Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,
Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit
Passe une bonne part d'une si belle nuit.
Par mon commandement la garde en fait de même,
Et se tenant cachée, aide à mon stratagème;
Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous
L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous.
Cette obscure clarté qui tombe des étoiles
Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles;
L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort
Les Maures et la mer montent jusques au port.
On les laisse passer ; tout leur paraît tranquille;
Point de soldats au port, point aux murs de la ville.
Notre profond silence abusant leurs esprits,
Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris;
Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent,
Et courent se livrer aux mains qui les attendent. Nous nous levons alors, et tous en même temps
Poussons jusques au ciel mille cris éclatants.
Les nôtres, à ces cris, de nos vaisseaux répondent;
Ils paraissent armés, les Maures se confondent,
L'épouvante les prend à demi descendus;
Avant que de combattre ils s'estiment perdus.
Ils couraient au pillage, et rencontrent la guerre;
Nous les pressons sur l'eau, nous les pressons sur terre,
Et nous faisons courir des ruisseaux de leur sang,
Avant qu'aucun résiste ou reprenne son rang.
Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient,
Leur courage renaît, et leurs terreurs s'oublient
La honte de mourir sans avoir combattu
Arrête leur désordre, et leur rend leur vertu.
Contre nous de pied ferme ils tirent leurs alfanges;
De notre sang au leur font d'horribles mélanges.
Et la terre, et le fleuve, et leur flotte, et le port,
Sont des champs de carnage où triomphe la mort.
Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres
Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres,
Où chacun, seul témoin des grands coups qu'il donnait,
Ne pouvait discerner où le sort inclinait ! J'allais de tous côtés encourager les nôtres,
Faire avancer les uns et soutenir les autres,
Ranger ceux qui venaient, les pousser à leur tour,
Et ne l'ai pu savoir jusques au point du jour.
Mais enfin sa clarté montre notre avantage;
Le Maure voit sa perte, et perd soudain courage
Et voyant un renfort qui nous vient secourir,
L'ardeur de vaincre cède à la peur de mourir.
Ils gagnent leurs vaisseaux, ils en coupent les câbles,
Poussent jusques aux cieux des cris épouvantables,
Font retraite en tumulte, et sans considérer
Si leurs rois avec eux peuvent se retirer.
Pour souffrir ce devoir leur frayeur est trop forte;
Le flux les apporta, le reflux les remporte;
Cependant que leurs rois, engagés parmi nous,
Et quelque peu des leurs, tous percés de nos coups,
Disputent vaillamment et vendent bien leur vie. À se rendre moi-même en vain je les convie :
Le cimeterre au poing ils ne m'écoutent pas;
Mais voyant à leurs pieds tomber tous leurs soldats,
Et que seuls désormais en vain ils se défendent,
Ils demandent le chef; je me nomme, ils se rendent.
Je vous les envoyai tous deux en même temps;
Et le combat cessa faute de combattants.

(Le Cid, extrait acte IV, scène 3)

1

lassitude

 

jpg_lassitude-15729http://www.artistesdauvergne.org/spip.php?article91

Lassitude

De la douceur, de la douceur, de la douceur !
Calme un peu ces transports fébriles, ma charmante.

Même au fort du déduit parfois, vois-tu, l’amante
Doit avoir l’abandon paisible de la sœur.

Sois langoureuse, fais ta caresse endormante,
Bien égaux tes soupirs et ton regard berceur.
Va, l’étreinte jalouse et le spasme obsesseur
Ne valent pas un long baiser, même qui mente !

Mais dans ton cher cœur d’or, me dis-tu, mon enfant,
La fauve passion va sonnant l’olifant ! ...
Laisse-la trompetter à son aise, la gueuse !

Mets ton front sur mon front et ta main dans ma main,
Et fais-moi des serments que tu rompras demain,
Et pleurons jusqu’au jour, ô petite fougueuse !

Paul Verlaine

   

2

fatigue

 

fatigue1Web

3

empathie

 

Empathie (6)

http://projetrelationnel.blogspot.fr/2012/02/empathie-de-lautre-cote-de-ton-regard.html

Et voilà c'est parti mon "kiki"

 vous allez vous dire : "elle nous a déjà fait le coup"

Effectivement, cela ne fera qu'une fois de plus, mais aussi une fois de moins, pas facile tous les jours d'être opérationnelle, enthousiaste, efficace, se donner des coups de pieds au "cul", est-ce une bonne méthode ?

Non, faire semblant de

 

sourire de francine_p

c'est possible

mais

à quel prix

 

souriez-love-vous-etes-filmes-130994235734


"LA GRANDE VADROUILLE", LES CITROUILLES par richardanthony

alors pour terminer

je viens de m'offrir et vous offrir un petit plaisir

en vous souhaitant une bonne fin février

bon jeudi coeurs

29 décembre 2012

Bon samedi, le dernier de 2012.

P1070127le gui nous réjouit

P1070131couleurs encore en vie

pour le plaisir des yeux

même si l'arbre semble mort 

il se dresse comme un fantome

en attendant le printemps

P1070161Victor Hugo   (1802-1885)

En hiver la terre pleure

En hiver la terre pleure ;
Le soleil froid, pâle et doux,
Vient tard, et part de bonne heure,
Ennuyé du rendez-vous.

Leurs idylles sont moroses.
- Soleil ! aimons ! - Essayons.
O terre, où donc sont tes roses ?
- Astre, où donc sont tes rayons ?

Il prend un prétexte, grêle,
Vent, nuage noir ou blanc,
Et dit : - C'est la nuit, ma belle ! -
Et la fait en s'en allant ;

Comme un amant qui retire
Chaque jour son coeur du noeud,
Et, ne sachant plus que dire,
S'en va le plus tôt qu'il peut.

26 novembre 2012

J - 2 ! Pour toi Rémi ! Une carte postale musicale ...

carte joyeux-anniversaire-langue

http://compte-a-rebours-2012.com/

avec ce lien Rémi

tu pourras

placer au "top"

ton anniversaire

2012

et

voir combien il te reste de jours à vivre avant la fin du monde

1je plaisante pour te souhaiter

un

bon

heureux

joyeux

anniversaire

point excla pour rémi

P1050134

P1050142elles sont là nos 2 chéries

pour aussi te chanter en aboyant

"happy birthday Rémi"

à leur manière

quelques mots d'une carte postale

même si

les choses ne se sont pas vraiment passées ainsi

Mon fils

Dés que tu as vu le jour

Mon flis

Si doux, si fragile

Une grande fierté

A submergé mon coeur.

Tes joies, tes sourires

Tes pleurs et tes larmes

Je les ai partagés avec toi

 

Aujourd'hui

Si les rides,

Ont raison de moi

Mon coeur reste jeune

Grâce à toi

Copyright Jacqueline Boilot

 

barre de séparation avec une rose


28 novembre 1985

http://www.notrefamille.com/v2/editorial/1985.html

28 novembre 2012


MICKAEL JACKSON un regal pour les yeux et les... par proteinemenfort

pour terminer tu devras souffler cette année 27 bougies

26 bougies

carte-joyeux-anniversaire-Remi-58-1513-smallinfos images du web ..

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 > >>
Publicité
" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
  • "COPYRIGHT". Ce blog a été créé pour être une porte ouverte sur le Monde, où chacun(e) peut rentrer sans frapper, déposer quelques mots. Mon journal de bord au gré de mes idées,mes envies,de mes coups de cœur. Bon voyage sur ce chemin.Tous droits réservés
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Archives
Derniers commentaires
Newsletter
48 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 998 050
Publicité