10 novembre 2012
Un cadeau magnifique d'un ami de Facebook; un matheux à la retraite devenu poète !
ESMERALDA
Petite Esmeralda, toi, sublime gitane
Aux yeux si expressifs, d’un noir tellement beau,
Ta vie avait pris corps avec Victor Hugo ;
Tu dansais dans Paris près de ta caravane.
Les truands t’avaient pris pour leur divin arcane,
Essayant d’abuser de toi comme Frollo,
Ce maudit religieux. Quant à Quasimodo,
Il t’avait éloignée de l’univers tzigane.
Phœbus de Châteaupers aimait tes cheveux d’or,
Mais toi, de ton côté, tu l’aimas d’amour fort ;
Ton destin traversa l'église Notre-Dame.
Tu aurais pu revoir, grâce au petit soulier,
Phœbus, ton cher amant. Hélas, c’est au gibet
Que tu mourus. Quel regret ! Reviens-nous, chère âme !…
Claude Marmet
Jeudi 8 Novembre 2012
Poème déposé
Tous droits réservés
Toile peinte par Marie-José BINI
Les truands t’avaient pris pour leur divin arcane,
Essayant d’abuser de toi comme Frollo,
Ce maudit religieux. Quant à Quasimodo,
Il t’avait éloignée de l’univers tzigane.
Phœbus de Châteaupers aimait tes cheveux d’or,
Mais toi, de ton côté, tu l’aimas d’amour fort ;
Ton destin traversa l'église Notre-Dame.
Tu aurais pu revoir, grâce au petit soulier,
Phœbus, ton cher amant. Hélas, c’est au gibet
Que tu mourus. Quel regret ! Reviens-nous, chère âme !…
Claude Marmet
Jeudi 8 Novembre 2012
Poème déposé
Tous droits réservés
Toile peinte par Marie-José BINI
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