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" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
17 février 2011

Citation donnant à réfléchir !

 

Peuple_Dune_OF_Erdeven

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

cri_du_peuple_28_10_1883

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Un grand peuple sans âme n'est qu'une vaste foule"
Alphonse de Lamartine

des liens

_mevon_Hoyer__Psyche

âme 

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%82me

&

http://agora.qc.ca/dossiers/Ame


foule_20portland_20ap

foule2detfoule

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors que vous inspire cette citation ?

Moi , elle m'inquiète quelque part 

!

Le peuple c'est une chose

La foule me fait peur

Je n'aime pas la foule 

Je n'ai jamais aimé me confronter à une foule

&

Si on me dit : "foule" 

Je pense tout de suite à : "troupe"

 

Don Rodrigue
Sous moi donc cette troupe s'avance,
Et porte sur le front une mâle assurance.
Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port,
Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,
Les plus épouvantés reprenaient de courage !
J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés,
Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés ;
Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,
Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,
Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit
Passe une bonne part d'une si belle nuit.
Par mon commandement la garde en fait de même,
Et se tenant cachée, aide à mon stratagème ;
Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous
L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous.
Cette obscure clarté qui tombe des étoiles
Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles ;
L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort
Les Maures et la mer montent jusques au port.
On les laisse passer ; tout leur parait tranquille ;
Point de soldats au port, point aux murs de la ville.
Notre profond silence abusant leurs esprits,
Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris ;
Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent,
Et courent se livrer aux maisn qui les attendent.
Nous nous levons alors, et tous en même temps
Poussons jusques au ciel mille cris éclatants.
Les nôtres, à ces cris, de nos vaisseaux répondent ;
Ils paraissent armés, les Maures se confondent,
L'épouvante les prend à demi descendus ;
Avant que de combattre ils s'estiment perdus.
Ils couraient au pillage, et rencontrent la guerre ;
Nous les pressons sur l'eau, nous les pressons sur terre,
Et nous faisons courir des ruisseaux de leur sang,
Avant qu'aucun résiste ou reprenne son rang.
Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient,
Leur courage renait, et leurs terreurs s'oublient :
La honte de mourir sans avoir combattu
Arrête leur désordre, et leur rend leur vertu.
Contre nous de pied ferme ils tirent leurs alfanges ;
De notre sang au leur font d'horribles mélanges.
Et la terre, et le fleuve, et leur flotte, et le port,
Sont des champs de carnage où triomphe la mort.
Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres
Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres,
Où chacun, seul témoin des grands coups qu'il donnait,
Ne pouvait discerner où le sort inclinait !
J'allais de tous côtés encourager les nôtres,
Faire avancer les uns et soutenir les autres,
Ranger ceux qui venaient, les pousser à leur tour,
Et ne l'ai pu savoir jusques au point du jour.
Mais enfin sa clarté montre notre avantage ;
Le Maure voit sa perte, et perd soudain courage :
Et voyant un renfort qui nous vient secourir,
L'ardeur de vaincre cède à la peur de mourir.
Ils gagnent leurs vaisseaux, ils en coupent les chables,
Poussent jusques aux cieux des cris épouvantables,
Font retraite en tumulte, et sans considérer
Si leurs rois avec eux peuvent se retirer.
Pour souffrir ce devoir leur frayeur est trop forte ;
Le flux les apporta, le reflux les remporte ;
Cependant que leurs rois, engagés parmi nous,
Et quelque peu des leurs, tous percés de nos coups,
Disputent vaillamment et vendent bien leur vie.
À se rendre moi-même en vain je les convie :
Le cimeterre au poing ils ne m'écoutent pas ;
Mais voyant à leurs pieds tomber tous leurs soldats,
Et que seuls désormais en vain ils se défendent,
Ils demandent le chef ; je me nomme, ils se rendent.
Je vous les envoyai tous deux en même temps ;
Et le combat cessa faute de combattants.
C'est de cette façon que pour votre service...

 

guerriers

troupe_1_p

ps/ images et photos du Web

mais aussi à une chanson 

qui me fascine 

 

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Commentaires
A
Je ne sais pas si j'aime la foule, ça dépend de la foule!<br /> Je suis venue visiter tn blog qui est toujours très intéressant.<br /> Je t'embrasse<br /> Paule
K
Moi aussi j'ai peur de la foule. Lorsque parfois je me retrouve au milieu d'elle, j'ai vraiment peur. Ainsi lors de concert publique je ne vais pas trop au milieu des gens, je préfère rester un peu à l'écart.<br /> C'est la foule qui souvent mets les dictateurs au pouvoir.<br /> Quand à ta première photo, elle me fait penser aux joyeux flamingants du N-VA qui sont en train de bousiller notre pays.
M
pour se connecter ...
M
vous allez vous la "farcir" cette note ...
J
a part " la foule " de Piaf, c'est la seule foule que j'aime !!!! moi aussi j'ai peur de la foule, moi aussi j'ai un souvenir " cuisant " de feux d'artifices .... un mouvement de foule ??? je panique !!! et de plus je suis claustro..... la totale amie Mimi ! finalement, qu'est ce qu'on est bien dans notre mi ville mi campagne !<br /> je te fais pleins de gros bisous... bonne soirée !
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" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
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