A votre avis, ces affirmations sont-elles VRAIES ou FAUSSES ?
- Ce sont les pommes et non pas la caféine qui nous réveillent le mieux le matin. - Alfred Hitchcock n'avait pas de nombril. - Un fumeur qui fume un paquet de cigarettes par jour perdra environ 2 dents tous les 10 ans. - On n'est pas malade l'hiver parce qu' il fait froid, on est malade parce qu' on reste trop à l'intérieur. - Quand on éternue, toutes les fonctions du corps s'arrêtent, même le cœur ! - Seulement 7% de la population mondiale est gauchère. - Une personne normale d'environ 50 ans sera restée 5 ans dans des files d'attente.
- La brosse à dents fut inventée en 1498. - Une mouche vit environ un mois.
- Les pieds sont plus grands l'après-midi que le matin. - La plupart d'entre nous a mangé une araignée en dormant. - Les autruches mettent leur tête dans le sol pour trouver de l'eau.
- Les seuls animaux qui peuvent voir derrière eux sans se retourner sont le lapin et le perroquet.
- S'il n'y avait pas de colorants dans le Coca, il serait vert. - Un dentiste a inventé la chaise électrique. - Les écailles de poisson sont un ingrédient essentiel dans le rouge à lèvres.
- Un kilo de citrons contient plus de sucre qu'un kilo de fraises.
- 80% des animaux sont des insectes.
- Si l'on mâche du chewing-gum en épluchant des oignons, on ne pleurera pas. - Les dents de castors poussent continuellement sans jamais s'arrêter.
- Un papillon a 12 000 yeux.
- Les crocodiles ne savent pas tirer la langue. - Les cochons sont parmi les seuls animaux qui peuvent attraper des coups de soleil. - Aux États-Unis, environ 200 000 000 M&Ms sont vendus tous les jours.
- Toutes les minutes, 40 personnes se retrouvent à l'hôpital pour des morsures de chien.
- 40 000 Américains sont blessés par des toilettes chaque année ! - Un utilisateur d'ordinateur cligne 7 fois les yeux en une minute.
Solutions en bas de page
Alors
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Alors
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Alors
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TOUT EST VRAI !!!!!!!!
(Même l'araignée !)
Information : toutes les images glanées sur le Web, si il y a un problème me le signaler rapidement et gentiment ! Merci par avance (je n'ai pas envie d'être traîtée de voleuse).
quelques photos personnelles de ce village du Beaujolais
prises en octobre 2004
PINCEAU D'OR 2012 - LE VERRE DE L’AMITIÉ
Suite à la superbe mobilisation de tous les acteurs et habitants du Beaujolais pour valoriser notre beau Pays Beaujolais autour du vote symbolique du Pinceau d'Or 2012, la commune de Vaux en Beaujolais et la Communauté de Communes Beaujolais Vauxonne vous invite tous à boire le verre de l'amitié le samedi 13 avril 2013 à 11h au caveau de Clochemerle pour vous remercier de votre mobilisation. Vous pourrez admirer la fresque pour ceux qui ne l'ont vu qu'en photo. La fresque sera inaugurée officiellement ce samedi 13 avril 2013 à 11h.
A très bientôt pour une grande fête, venez nombreux.
Don Rodrigue Tout autre que mon père L’éprouverait sur l’heure.
Don Diègue Agréable colère ! Digne ressentiment à ma douleur bien doux ! Je reconnais mon sang à ce noble courroux ; Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma honte ; Viens me venger.
Don Rodrigue De quoi ?
Don Diègue D’un affront si cruel, Qu’à l’honneur de tous deux il porte un coup mortel : D’un soufflet. L’insolent en eût perdu la vie ; Mais mon âge a trompé ma généreuse envie ; Et ce fer que mon bras ne peut plus soutenir, Je le remets au tien pour venger et punir. Va contre un arrogant éprouver ton courage : Ce n’est que dans le sang qu’on lave un tel outrage ; Meurs, ou tue. Au surplus, pour ne te point flatter, Je te donne à combattre un homme à redouter ; Je l’ai vu, tout couvert de sang et de poussière, Porter partout l’effroi dans une armée entière. J’ai vu par sa valeur cent escadrons rompus ; Et pour t’en dire encor quelque chose de plus, Plus que brave soldat, plus que grand capitaine, C’est…
Don Rodrigue De grâce, achevez.
Don Diègue Le père de Chimène.
Don Rodrigue Le…
Don Diègue Ne réplique point, je connais ton amour, Mais qui peut vivre infâme est indigne du jour ; Plus l’offenseur est cher, et plus grande est l’offense. Enfin tu sais l’affront, et tu tiens la vengeance : Je ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi ; Montre-toi digne fils d’un père tel que moi. Accablé des malheurs où le destin me range, Je vais les déplorer. Va, cours, vole, et nous venge.
Sous moi donc cette troupe s'avance, Et porte sur le front une mâle assurance. Nous partîmes cinq cents; mais par un prompt renfort Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port, Tant, à nous voir marcher avec un tel visage, Les plus épouvantés reprenaient de courage ! J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés, Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés; Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure, Brûlant d'impatience, autour de moi demeure, Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit Passe une bonne part d'une si belle nuit. Par mon commandement la garde en fait de même, Et se tenant cachée, aide à mon stratagème; Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous. Cette obscure clarté qui tombe des étoiles Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles; L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort Les Maures et la mer montent jusques au port. On les laisse passer ; tout leur paraît tranquille; Point de soldats au port, point aux murs de la ville. Notre profond silence abusant leurs esprits, Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris; Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent, Et courent se livrer aux mains qui les attendent. Nous nous levons alors, et tous en même temps Poussons jusques au ciel mille cris éclatants. Les nôtres, à ces cris, de nos vaisseaux répondent; Ils paraissent armés, les Maures se confondent, L'épouvante les prend à demi descendus; Avant que de combattre ils s'estiment perdus. Ils couraient au pillage, et rencontrent la guerre; Nous les pressons sur l'eau, nous les pressons sur terre, Et nous faisons courir des ruisseaux de leur sang, Avant qu'aucun résiste ou reprenne son rang. Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient, Leur courage renaît, et leurs terreurs s'oublient La honte de mourir sans avoir combattu Arrête leur désordre, et leur rend leur vertu. Contre nous de pied ferme ils tirent leurs alfanges; De notre sang au leur font d'horribles mélanges. Et la terre, et le fleuve, et leur flotte, et le port, Sont des champs de carnage où triomphe la mort. Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres, Où chacun, seul témoin des grands coups qu'il donnait, Ne pouvait discerner où le sort inclinait ! J'allais de tous côtés encourager les nôtres, Faire avancer les uns et soutenir les autres, Ranger ceux qui venaient, les pousser à leur tour, Et ne l'ai pu savoir jusques au point du jour. Mais enfin sa clarté montre notre avantage; Le Maure voit sa perte, et perd soudain courage Et voyant un renfort qui nous vient secourir, L'ardeur de vaincre cède à la peur de mourir. Ils gagnent leurs vaisseaux, ils en coupent les câbles, Poussent jusques aux cieux des cris épouvantables, Font retraite en tumulte, et sans considérer Si leurs rois avec eux peuvent se retirer. Pour souffrir ce devoir leur frayeur est trop forte; Le flux les apporta, le reflux les remporte; Cependant que leurs rois, engagés parmi nous, Et quelque peu des leurs, tous percés de nos coups, Disputent vaillamment et vendent bien leur vie. À se rendre moi-même en vain je les convie : Le cimeterre au poing ils ne m'écoutent pas; Mais voyant à leurs pieds tomber tous leurs soldats, Et que seuls désormais en vain ils se défendent, Ils demandent le chef; je me nomme, ils se rendent. Je vous les envoyai tous deux en même temps; Et le combat cessa faute de combattants.
Calme un peu ces transports fébriles, ma charmante.
Même au fort du déduit parfois, vois-tu, l’amante Doit avoir l’abandon paisible de la sœur.
Sois langoureuse, fais ta caresse endormante, Bien égaux tes soupirs et ton regard berceur. Va, l’étreinte jalouse et le spasme obsesseur Ne valent pas un long baiser, même qui mente !
Mais dans ton cher cœur d’or, me dis-tu, mon enfant, La fauve passion va sonnant l’olifant ! ... Laisse-la trompetter à son aise, la gueuse !
Mets ton front sur mon front et ta main dans ma main, Et fais-moi des serments que tu rompras demain, Et pleurons jusqu’au jour, ô petite fougueuse !
vous allez vous dire : "elle nous a déjà fait le coup"
Effectivement, cela ne fera qu'une fois de plus, mais aussi une fois de moins, pas facile tous les jours d'être opérationnelle, enthousiaste, efficace, se donner des coups de pieds au "cul", est-ce une bonne méthode ?
LÂCHER PRISE Lâcher Prise, ce n'est pas se montrer indifférent, mais simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un d'autre. Lâcher prise, ce n'est pas couper les liens, mais prendre conscience qu'il ne doit pas y avoir contrôle d'autrui. Lâcher prise, ce n'est pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un évènement. Lâcher prise, c'est reconnaître ses limites, c'est à dire que le résultat final n'est pas entre nos mains. Lâcher prise, ce n'est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi-même. Lâcher prise, ce n'est pas prendre soin des autres, mais se sentir concerné par eux. Lâcher prise, ce n'est pas assister, mais encourager. Lâcher prise, ce n'est pas juger, mais accorder à autrui le droit d'être avec toutes ses imperfections comme champ d'expériences. Lâcher prise, ce n'est pas s'occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin, source d'éveil. Lâcher prise, ce n'est pas materner les autres, mais leur permettre d'affronter la réalité. Lâcher prise, ce n'est pas rejeter, c'est au contraire accepter. Lâcher prise, ce n'est pas harceler, sermonner ou gronder, mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire. Lâcher prise, ce n'est pas adapter les choses à ses propres désirs, mais prendre chaque jour comme il vient et l'apprécier sans oublier de s'aider soi-même. Lâcher prise, ce n'est pas critiquer ou corriger autrui, mais s'efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir. Lâcher prise, ce n'est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l'avenir dans l'ici et maintenant. Lâcher prise, c'est craindre de moins en moins pour aimer de plus en plus.
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Ce blog a été créé pour être une porte ouverte sur le Monde, où chacun(e) peut rentrer sans frapper, déposer quelques mots. Mon journal de bord au gré de mes idées,mes envies,de mes coups de cœur. Bon voyage sur ce chemin.Tous droits réservés