Norman Rockwell est né à New York le 3 février 1894 et mort à Stockbridge (Massachusetts) le 8 novembre 1978. Peintre de la vie américaine, dans un style naturaliste, il s'est rendu célèbre pour ses couvertures de magazines réalisées pour le Saturday Evening Post dès 1916. Il quittera cette publication dans les années 60, à l'époque où la photographie remplace peu à peu l'illustration.

Le chanteur français Eddy Mitchell a rendu hommage au peintre américain naturaliste dans sa chanson "Un portrait de Norman Rockwell", publiée en 1996.

je découvre cet homme

j'espère que Google ne me "trompe" pas !

vous connaissiez ?

pas moi !!!

je me suis laissée aller sur ce post

car je suis très inquiète

au sujet d'un ami

qui ne donne pas de ses nouvelles

depuis plusieurs jours....

http://www.patrickdelaplacetrinquet.eu

Dis, quand reviendras-tu ?

crêpes

moi

la première

Je n’ai qu’une envie en ce moment : faire la crêpe, végéter ou buller ...............

et vous la poésie, vous fatigue  ?

dommage !

j'offre celle -ci

à

un

copain d'avant

qui

prend

1 an de plus aujourd'hui

!

Mardi Gras ou chandeleur, qu'est ce que c'est ?

Le mardi gras n'est qu'autre qu'une fête catholique, qui distingue la fin de la semaine des 7 jours gras et précède néanmoins le Mercredi des Cendres. C'est en cette période que de nombreux carnavals sont proposés un peu partout dans le monde pour fêter le Mardi Gras, et c'est une occasion, notamment en France que le jour du Mardi Gras on mange de délicieux beignets de carnaval, ou pourquoi pas les incomparables crêpes maisons savourées à toutes les sauces. Le Mardi Gras est aussi le jour où petits et grands se déguisent, car tradition oblige.
Pour ce qui est de La Chandeleur, on peut la comparer au Mardi Gras, mais la coutume pour La chandeleur n'est pas le déguisement, certaines personnes allument des cierges à minuit pour symboliser la purification......

Chandeleur ne veut t'il pas dire "chandelle" !

A la Chandeleur, chacun fait sauter sa propre crêpe avec la main droite, puis dans la main gauche on tient un Louis d'Or ou à défaut une pièce de monnaie qui remplace plus souvent ce denier pas présent chez tout le monde et ceci pour connaître la prospérité durant l'année. L'important c'est de participer et rester fidéles aux traditions de la Chandeleur. Cette année la date du Mardi Gras 2010 et de la Chandeleur 2010 est pour le Mardi 2 février, et les fervents de crêpes vont se régaler car on les mange comme on en a envie : au sucre, cassonade, confitures, chocolat, et pour les connaisseurs, en crêpes suzette, baignant dans un jus d'orange caramélisé et surtout, flambées au Grand Marnier. En résumé, ne passons pas à côté de cette simple tradition, présente dans de nombreux pays, et pensons déjà aux préparatifs de déguisement pour le Mardi Gras 2010, et peut être pour de nouvelles recettes de crêpes, sucrées ou salées, chaudes ou froides, elles seront toujours appréciées par toutes populations confondues.

De nombreux proverbes sont également associés à la Chandeleur.

En voici quelques-uns :
À la Chandeleur, l'hiver se meurt ou prend vigueur.
À la Chandeleur, la neige est à sa hauteur, ce qui signifie que c'est souvent à cette date que l'épaisseur de la neige est à son maximum, au Québec.
À la Chandeleur, le jour croît de deux heures.
À la Chandeleur, grande neige et froideur.
À la Chandeleur, le froid fait douleur.
À la Chandeleur, au grand jour, les grandes douleurs.
À la Chandeleur, Quéré fait des crêpes jusqu'à pas d'heure.
À la Chandeleur, Rose n'en sentira que l'odeur.
Rosée à la Chandeleur, l'hiver à sa dernière heure.
Si la chandelle est belle et claire, nous avons l'hiver derrière. Si le ciel n'est ni clair ni beau, nous aurons plus de vin que d'eau. (bordelais)

http://www.dailymotion.com/video/x1p7jh_beethowen-sonate-au-clair-de-lune_creation

1/écoutez

2/lisez

Alphonse de lAMARTINE (1790-1869), Méditations poétiques (1820)

« Le Lac »

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?

Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.

Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.

Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
Laissa tomber ces mots :

"Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !

"Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.

"Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore
Va dissiper la nuit.

"Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
Il coule, et nous passons !"

Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,
S’envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?

Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !

Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?

Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !

Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.

Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.

Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !

photo n°1 :

CROIX DE CAMARGUE

Cette croix, plus communément appelée croix des "gardians" est accrochée au mur de toutes les demeures camarguaises, symbole de la foi, de l'espérance et de la charité.

La croix symbolise la FOI; le coeur la CHARITE; l'ancre l'ESPERANCE. Les extrémités de la croix représentent le trident camarguais, indispensable aux gardians pour contrôler leurs troupeaux.