Des visages que j'aime .....mais je pourrais en mettre beaucoup plus !!
Julio iglesias - vous les femmes
envoyé par fenabdel. - Regardez d'autres vidéos de musique.
nb/ photos personnelles et photos du web
Julio iglesias - vous les femmes
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en fait
pas besoin de facteur costaud
pour les gros colis légers comme une plume
&
Heureusement qu'on paie une taxe éco-emballage
je cite Raymond
" il y a du boulot pour être plus économe...
exemple à l'appui avec quelques photos d'un colis reçu samedi....
quand je l'ai ouvert j'ai cru à une blague
car je ne voyais rien à l'intérieur
mais c'était sans compter
sur l'oeil de lynx de Mimi qui a découvert le contenu coincé sous un carton en forme de double fond !
Malin le gars de l'emballage !"
Joelle
Claude(s)
Arlette
Odette
Yvette
Marie-Claude (s)
Danielle
Agathe
Juliette (elle a des bulles)
Fernande
Marinette
Marie
Monique
Jocelyne
&
......
je dois en oublier
toutes celles aussi qui ne sont plus là....qui nous manquent .
Alors quelques fleurs offertes avec mon coeur .
&
Un poème de Jacques Prévert.
La vie n'a pas d'âge.
La vraie jeunesse ne s'use pas.
On a beau l'appeler souvenir,
On a beau dire qu'elle disparaît,
On a beau dire et vouloir dire que tout s'en va,
Tout ce qui est vrai reste là.
Quand la vérité est laide, c'est une bien fâcheuse histoire,
Quand la vérité est belle, rien ne ternit son miroir.
Les gens très âgés remontent en enfance
Et leur coeur bat
Là ou il n'y a pas d'autrefois.
Paul HAREL est né à Echauffour le 18 mai 1854 ,il est décédé brusquement, dans ce village qu'il n'aura jamais vraiment quitté, le dimanche 6 mars 1927 au soir d'une embolie. Il était alors âgé de 72 ans.
Des almanachs hésitants
Mars a mis dans tous les temps
Les pronostics en querelle ;
Son caprice est sans pareil :
Pluie ou vent, brouillard, soleil,
C’est un mois extravagant ;
Aujourd’hui, c’est l’ouragan
Qui hurle dans ses trompettes.
Quelques précoces chaleurs
Demain sécheront les pleurs
Puis, pendant que le jour croît,
Tout à coup revient le froid,
Puis encore la bourrasque.
Arlequin quotidien,
Mars est un comédien
Qui, dès le premier tableau ,
Se montre et joue avec l’eau
Qu’il déverse en cataracte,
Un drame torrentiel,
Avec un bout d’arc-en-ciel
Colombine n’est pas la.
Bientôt, en gai falbala,
Du ciel elle va descendre ;
En attendant, Arlequin
Taquine ce vieux coquin
Au premier plan du décor
L’ajonc montre ses fleurs d’or ;
Les coudriers dans les haies
Balancent leurs chatons neufs
Sur la tête des houx, veufs
Sur le talus des fossés
D’autres fleurs, bouquets tassés,
Ouvrent leurs petits calices,
Et dans les bas fonds des prés
Brillent les pompons dorés
Aux murs servant de portants,
On peut voir, de temps en temps,
Des touffes blanches écloses
Aux abricotiers hardis. —
Pas de musique d’abord ;
L’hiver a frappé de mort
Les gosiers de la nature.
Le coq chante le premier ;
Il sonne sur son fumier
Le merle siffle un solo ;
Miaulant en trémolo,
Le chat, qu’en vain l’on séquestre,
Se lamente nuit et jour
En attendant le retour
Font culbutes et plongeons
Dans la brume des aurores,
Où défilent les vanneaux,
Pareils à des dominos
Courant du gîte au fourré,
Le lièvre passe, effaré ;
C’est le Pierrot de la farce.
Pressant leur vol alangui,
Les grives s’en vont au gui,
Déjà le bouvreuil goulu
Becquète un bourgeon velu,
Le jette à terre et décampe;
Tandis que, danseur falot,
L’écureuil passe au galop
La scène change à la fin ;
Golombine en séraphin,
Fendant la voûte azurée,
Vient descendre au dénouement.
Le Printemps fait brusquement
Arlequin lui santé au cou,
Puis, il jette dans un trou
Cassandre ébloui qu’il brave,
Et le vieil Hiver sournois
Est verrouillé pour neuf mois
Devant le trou du souffleur,
L’œil en feu, la joue en fleur,
Colombine au bon parterre
Chante le couplet final
Du mélodrame hivernal
C’est un gai De Profundis.
Les violons dégourdis
Chantent de façon discrète :
Le bonhomme est trépassé,
Requiescat in pace.
Le poète émerveillé
Et juste à point réveillé,
Accomplit, tout en liesse,
Son devoir de spectateur
En applaudissant l’auteur
Dans le décor du Printemps
Il salue, en même temps,
Le Créateur et l’aurore ;
Dans les splendeurs du ciel bleu,
Il entrevoit le bon Dieu
cette nuit le facteur est passé sur mon blog
&
je vous offre ici
ce commentaire en or , que je vais illustrer
**
ma chère Mimi
mon cher oiseau si fragile et si fort
ma caille qui sait parfois se faire aigle royal ou douce touterelle...
reprends de l'altitude... du recul
ne te laisse pas déchirer à pleines dents
respire l'air pur des cimes
ouvre l'oeil et tu verras
que derrière de noirs nuages
luit le soleil : il est là bien là !
ton Ray on de soleil
Raymond
oui la vie continue
elle doit continuer
à nous deux nous devons
la faire belle
mes ailes
sont faites pour voler
alors
je vole
je vole
une tranche de vie
une page d'amour
s'est posée ici cette nuit
nb/ photos et images du web mais aussi personnelles
des souvenirs très forts
un film inoubliable
vu à sa sortie en 1970
au Comédia à Lyon
en compagnie de mon ami Pierre
une petite part de mon vécu
septembre 1971
je commence à Monsols ma carrière de Professeur ...
avec ses joies
avec ses peines
mais aussi des dangers qu'il fallait éviter !