15 décembre 2014
Que faut-il vous offrir ?
Parler de quoi, de qui ?
Quelles sont vos attentes ?
Je manque d'inspiration, suite à l'observation des statistiques de mon blog; c'est - - - !
Un peu d'humour en images.




Quelques dictons de décembre.
http://trucsmame.chez-alice.fr/pages_prov/prov_dec.htm
Quelques proverbes de décembre, amusez-vous à ... commenter !
http://www.linternaute.com/proverbe/theme/172-202/decembre/
Un beau poème découvert sur le net .
Le hibou parmi les décombres
Hurle, et Décembre va finir ;
Et le douloureux souvenir
Sur ton coeur jette encor ses ombres.

Le vol de ces jours que tu nombres,
L’aurais-tu voulu retenir ?
Combien seront, dans l’avenir,
Brillants et purs ; et combien, sombres ?
Laisse donc les ans s’épuiser.
Que de larmes pour un baiser,
Que d’épines pour une rose !

Le temps qui s’écoule fait bien ;
Et mourir ne doit être rien,
Puisque vivre est si peu de chose.
François Coppée, Les mois
Poème classé dans François Coppée, Hiver, Le temps qui passe, Sonnets.

24 novembre 2014
http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_Toulouse-Lautrec

http://www.toulouselautrec.free.fr/
Un lien ci-dessus très intéressant, si vous voulez mieux connaître l'oeuvre de Toulouse-Lautrec

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Henri de Toulouse-Lautrec, né Henri Marie Raymond de Toulouse-Lautrec-Monfa le 24 novembre 1864 à Albi et mort le 9 septembre 1901 au château Malromé, est un peintre et lithographe français de la fin du XIXᵉ siècle.
Wikipédia
- Naissance : 24 novembre 1864, Albi
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- Périodes : Postimpressionnisme, Art nouveau..........................................................................................................Je vais de ce pas vous offrir quelques tableaux de mon choix découverts sur le web ( dans images de Google ).


Mais que regarde-t-elle ?
Que voit-elle devant elle ?
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Qui la rend capricieuse?
Mais à quoi pense-t-elle
Pour s'exposer buveuse?
Lassitude
Habitude
Simple jeu.
Ennui
Mépris
Les deux.
La femme a ce regard
De ceux qui ont compris
Que rien n'est bien solide
Tout est dans le liquide...
18 mai An XI
Aussi je vous joins deux photos du photographe !



21 octobre 2014




Les feuillus se parent de belles couleurs, et des tableaux impressionistes s'offrent à notre regard; la nature est belle .



Un pin majestueux s'impose, il résiste !

Un platane "déplumé" joue au géant !

Une grenade est prête à éclater ...

La fontaine nous offre à boire, c'est l'heure de " l'apéro " jamais de Pernod sans eau !

Une belle construction au milieu des oliviers.

Couleurs d'automne.

L'ennemi de Cybèle surveille les petits oiseaux.
Chanson d'automne
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.

Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure

Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.

15 octobre 2014
http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/06/10/la-population-de-loups-en-france-depasse-les-300-individus_4435209_3244.html

Partout dans le monde, notamment en France, les mauvaises nouvelles se succèdent : les espèces sauvages sont malmenées, attaquées, empoisonnées, piégées, vendues en captivité, mitraillées, bétonnées, éliminées avec une fureur obsessionnelle.
Notre espèce ne supporte plus ce qui lui semble étranger, ce qui la gêne, ce qui lui coûte un peu d’argent, ce qui perturbe sa folle illusion du bonheur par la "croissance". En France, les voix les plus haineuses s’élèvent pour que soient massacrés les bouquetins du Bargy, les loups un peu partout et les derniers ours dans les Pyrénées.
Des animaux qui font partie de nos rêves

Hélas, les autorités de l’État, poussées par quelques politiciens à courte vue et quelques groupes d’éleveurs ou de chasseurs braillards, autorisent ce que jamais je n’aurais cru possible : des "prélèvements", des "campagnes d’assainissement" ou des "tirs d’effarouchement" (ah ! ces litotes !) d’espèces protégées, parfois jusque dans des parcs nationaux !
Les grands animaux sont les victimes offertes de cet holocauste. Ils sont indispensables à l’équilibre des grands milieux naturels. Mais il y a peut-être plus important : ils font partie de nos rêves. Je développe cette idée dans mon essai "Éloge des mangeurs d’hommes", qui paraît aux éditions Arthaud, et dont voici un passage.
Qui pourrait chiffrer, en euros ou en dollars, en sesterces ou en ducats, en louis ou en maravédis, le prix du plaisir que nous prenons à contempler une forêt, un éléphant, un papillon, la splendeur d’un récif de corail ? Quelle est la valeur vénale du saut du dauphin ou du chant du rossignol ? Combien pourrait- on négocier le spectacle de l’orque qui chasse, du requin qui rôde, du tigre qui ondule dans la savane, du lion qui secoue sa crinière, du loup qui trottine dans la neige ou de l’ours qui se dandine en attendant le saumon ?
Jaguar, loup, éléphant : des pans entiers de nos cultures
Comment chiffrer, pour l’enfant, l’importance de savoir que le loup du Petit Chaperon rouge trotte encore "pour de vrai" dans la forêt ? Que l’aigle des Fables de La Fontaine plane toujours sur la montagne ? Trois petits ours continuent de hanter la sapinière ? Comment les petits Inuits accéderaient-ils à leur mythologie – à la légende de Sedna – si l’ours polaire, le narval, le requin du Groenland et le phoque venaient à manquer ?
Comment les gamins de l’Inde comprendraient-ils le Râmâyana s’il n’existait ni éléphants d’Asie, ni tigres, ni ours lippus, ni cobras à lunettes ?
Pour les petits Africains, que signifieraient les histoires racontées par le griot, sous le baobab, sans l’éléphant d’Afrique, le crocodile, la girafe, la panthère et le lion ?
Comment les enfants d’Amérique centrale pourraient-ils reconnaître, sur les pyramides aztèques ou mayas, le jaguar et le python sacrés, si ce félin et ce serpent n’existaient plus dans la jungle ?
Comment les jeunes Aborigènes australiens garderaient-ils le contact avec la culture de leur peuple et le Temps du Rêve, sans le crocodile marin, le python, le requin de récif et le dingo ?
Quant aux Maoris de Nouvelle-Zélande, ils ne sauraient même plus d’où ils viennent : leur cosmologie raconte que leurs ancêtres gagnèrent leur "île du long nuage blanc" assis sur le dos d’une baleine…
Un héritage qu'on doit laisser à nos enfants
En anéantissant les grands prédateurs, ainsi que la faune et la flore qui leur sont associées, nous ferions disparaître des créatures indispensables à l’équilibre de notre planète. Nous nous priverions d’espèces uniques et merveilleuses, que l’évolution darwinienne a forgées et perfectionnées durant des millénaires.
En anéantissant ces splendeurs qui, parfois, nous blessent ou signent notre mort, nous perdrions bien davantage. Nous nous couperions des racines mêmes de notre culture. Nous renierions une large part de notre civilisation. Nous nous séparerions de ce qui nous a fait hommes bien avant l’invention du fusil-mitrailleur, de la tronçonneuse et du bulldozer. Nous interdirions à nos enfants des spectacles de nature sublimes, mais nous les isolerions surtout de la plupart de nos récits mythologiques, de nombre de nos poèmes, de nos romans, de nos peintures, de nos films ou de nos bandes dessinées.
pour info source du texte ci-dessus : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1249430-ours-lions-loups-en-detruisant-la-biodiversite-c-est-la-civilisation-qu-on-tue.html
Le loup dans les fables de La Fontaine est une "vedette" !
* Le loup et l'agneau
* Le loup et la cigogne
* Le loup et le chien
* Le loup, la chèvre et le chevreau




Voici quelques exemples de Fables que nous avons certaines apprises à l'école; ces fables ont toutes une morale . Et puis vous connaissez aussi une belle histoire...http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Petit_Chaperon_rouge
Les loups sont ...
05 septembre 2014
Un guide parfait !


Vous allez voir de jolies fleurs ...et un petit visiteur .








Green
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.

Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encor de vos derniers baisers
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.
Paul Verlaine
Désolée, je n'ai pas de fruits à vous offrir, seul un pied de vigne avec quelques misérables grappes de raisin ayant survécues aux orages; ce n'est pas cette année que nous ferons du vin !

01 mai 2014
En 2013 : tu t'es mal terminé, avec la fracture de mon péroné/droit; et depuis un engrenage de problèmes dont je ne vois encore pas la fin !
En 2014 : de quoi seras-tu fait ? Seul l'avenir pourra en témoigner; j'espère que le bout du tunnel va s'ouvrir sur la lumière et la joie.

Joie d'une naissance tant attendue, qui ne saurait tarder et les vers du grand Victor seront à déclamer .
Lorsque l'enfant paraît
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre
Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre
Les chaises se toucher,
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire.
On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère
Tremble à le voir marcher.
Lumière illuminant ma vie pour continuer d'avancer avec enthousiasme sur les pas de Cybèle, Raymond qui me porte depuis la fracture, Rémi, Marilyn mais surtout, le petit ange qui va combler ses parents et nous tous .
Alors, que ce symbole du 1er mai soit VRAI, qu'il nous offre ce bonheur, que nous méritons; des mots qui doivent sonner juste :
![muguet1[1]](https://p4.storage.canalblog.com/48/59/282794/95781819.jpg)


J'ai voulu faire "un pied de nez" à mai 2013; pour mai 2014, une personne a anticipé en m'écrivant : " le petit est né, TOUT va bien, yes yes " .
Aussi ce soir "chantons le joli mois de mai" comme dans certaines régions ( j'ai lu que des jeunes allaient reprendre la tradition près de chez nous ).
Mai : c'est aussi le mois de Marie dans une autre rubrique
http://www.mariedenazareth.com/qui-est-marie/le-mois-de-mai-mois-de-marie-catholique,
j'ai besoin de le rappeler ici .

En attendant ...
22 mars 2014

quelques liens sur le sujet du jour
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hiver
http://fr.wikipedia.org/wiki/Giboul%C3%A9e
http://fr.wikipedia.org/wiki/Printemps
http://actualite.lachainemeteo.com/actualite-meteo/2014-03-22-06h00/giboulees---comment-se-forment-elles---24604.php



images du Web "merci Google" et "merci aux auteurs"
(si une image doit être supprimée ... me le faire savoir)

Giboulées
La pluie éparpille un bouquet
De perles tièdes et légères.
On entend chanter les bergères
Et les oiseaux dans les bosquets.
Le soleil joue à cache cache
Avec les gros nuages gris.
Les moutons blancs, les veaux, les vaches,
Dans les près semblent tout surpris !
Et voici que parmi l'ondée,
Comme du fond d'un vrai pastel,
On voit monter, arche irisée,
Le pont joyeux d'un arc-en-ciel.
Raymond RICHARD
[À petits pas" - Editions du Cep Beaujolais]

Les giboulées de Mars / poème vendéen

Comme un joyeux canard se payant une ondée
Je navigue sans but au gré de mes sabots,
Dans les pacages verts de ma douce Vendée
Au souffle du printemps qui s'éveille en sursaut
Sur le bocage nu, tout s'étoffe et bourgeonne
Le gai soleil louvoie dans le bleu et le noir
Chassant la giboulée qui déverse et qui tonne
Et lessive l'hiver à grands coups d'arrosoir
Si les prunelliers noirs ont mis leurs robes blanches
Violette épinglée au revers du talus
Mon cœur a endossé son âme des dimanches
Primevères, coucous...! Soyez les bienvenus
Du vieux chêne qui borde un chemin de traverse
Sur la plus haute branche, va se loger Margot
De son globe épineux que la bourrasque berce
Dame pie courroucée m'interpelle en argot
Et je flane rêveur au gré des éléments
Dans les pacages verts de ma douce Vendée
Savourant les parfums de la rose des vents
Comme un joyeux canard se payant une ondée.
Félix Moreau - 15 décembre 1987 - Treize-Septiers (85600)
05 septembre 2013
Recueillement
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;
Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.

Derrière cette grille une Abbaye, celle du Thoronet; j'accuse et je dénonce : "visites adaptées pour les personnes handicapées" c'est faux ! Je n'ai rien vu, malgré la bonne volonté de mon époux, qui ne recule devant rien ! Alors je vous offre quelques photos, pour me changer les idées en attendant le magicien anti-douleur.





Et le plus incroyable : "gratuité pour la personne handicapée et l'accompagnateur" !





Que demandez de plus ? J'étais assise gratuitement dans mon fauteuil roulant, j'attendais sagement, le retour du photographe !C'est beau la vie !
Cette abbaye, a ses " soeurs " , Sylvacane et Sénanque; ce sont trois abbayes cisterciennes de Provence. Pas une réussite pour la fin de cure 2013; mais pas grave, j'aurai d'autres choses à vous montrer, si j'ai du courage et surtout l'envie de voir vivre ce blog. Au fait pour la rentrée, je voulais vous faire croire que je reprenais le chemin du collège; non je reste tranquille, la jeunesse est là pour prendre la relève et c'est bien mieux ainsi.
01 août 2013
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ao%C3%BBt

La nuit d'août (extrait)
par
Alfred de Musset
Ô
Muse ! que m'importe ou la mort ou la vie ?
J'aime, et je veux pâlir ; j'aime et je veux souffrir ;
J'aime, et pour un baiser je donne mon génie ;
J'aime, et je veux sentir sur ma joue amaigrie
Ruisseler une source impossible à tarir.
J'aime, et je veux chanter la joie et la paresse,
Ma folle expérience et mes soucis d'un jour,
Et je veux raconter et répéter sans cesse
Qu'après avoir juré de vivre sans maîtresse,
J'ai fait serment de vivre et de mourir d'amour.
Dépouille devant tous l'orgueil qui te dévore,
Cœur gonflé d'amertume et qui t'es cru fermé.
Aime, et tu renaîtras ; fais-toi fleur pour éclore.
Après avoir souffert, il faut souffrir encore ;
Il faut aimer sans cesse, après avoir aimé.
"désespoir du singe"
http://www.jardinexotiqueroscoff.com/site/genre/22/1/2/araucaria/araucaria-araucana.html