13 avril 2013
La naissance, la vie, la mort ...
http://www.reussirmavie.net/Les-neuf-mois-avant-la-naissance_a104.html
L' Odyssée de la vie
Avez-vous 14 : 27 minutes à lui consacrer
?
- Victor HUGO (1802-1885)
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre
Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre
Les chaises se toucher,
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire.
On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère
Tremble à le voir marcher.
Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme,
De patrie et de Dieu, des poètes, de l'âme
Qui s'élève en priant ;
L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie
Et les poètes saints ! la grave causerie
S'arrête en souriant.
La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure
Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure,
L'onde entre les roseaux,
Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare,
Sa clarté dans les champs éveille une fanfare
De cloches et d'oiseaux.
Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Quand vous la respirez ;
Mon âme est la forêt dont les sombres ramures
S'emplissent pour vous seul de suaves murmures
Et de rayons dorés !
Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,
Car vos petites mains, joyeuses et bénies,
N'ont point mal fait encor ;
Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange,
Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange
À l'auréole d'or !
Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche.
Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche.
Vos ailes sont d'azur.
Sans le comprendre encor vous regardez le monde.
Double virginité ! corps où rien n'est immonde,
Âme où rien n'est impur !
Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire,
Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,
Ses pleurs vite apaisés,
Laissant errer sa vue étonnée et ravie,
Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie
Et sa bouche aux baisers !
Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur ! l'été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants !
http://toutsedireavecdesmots.centerblog.net/11-un-bebe
Et puis nous grandissons
c'est la vie plus ou moins chaotique
http://suite101.fr/article/apprendre-a-nos-enfants-a-construire-leur-bonheur-a35759#axzz2QG8487p8
"Une plume divine écrit notre histoire, tâchons de la faire belle, disait St François de Sales"
facile à dire
pas facile à réaliser
alors
il faut souvent faire " avec "
si la plume est divine, elle n'en est pas moins vulnérable, fragile, c'est la vie
l'encrier se renverse
http://francais.istockphoto.com/photo-1055348-encre-renverser-encrier-ecrivain-goutte.php
la plume n'a plus d'encre pour continuer à écrire
la mort arrive sans s'annoncer
http://www.reflecritiques.com/2012/01/de-la-crainte-de-la-mort.html
bon dimanche au soleil
29 décembre 2012
Bon samedi, le dernier de 2012.
pour le plaisir des yeux
même si l'arbre semble mort
il se dresse comme un fantome
en attendant le printemps
En hiver la terre pleure ;
Le soleil froid, pâle et doux,
Vient tard, et part de bonne heure,
Ennuyé du rendez-vous.
Leurs idylles sont moroses.
- Soleil ! aimons ! - Essayons.
O terre, où donc sont tes roses ?
- Astre, où donc sont tes rayons ?
Il prend un prétexte, grêle,
Vent, nuage noir ou blanc,
Et dit : - C'est la nuit, ma belle ! -
Et la fait en s'en allant ;
Comme un amant qui retire
Chaque jour son coeur du noeud,
Et, ne sachant plus que dire,
S'en va le plus tôt qu'il peut.
10 novembre 2012
Un cadeau magnifique d'un ami de Facebook; un matheux à la retraite devenu poète !
ESMERALDA
Petite Esmeralda, toi, sublime gitane
Aux yeux si expressifs, d’un noir tellement beau,
Ta vie avait pris corps avec Victor Hugo ;
Les truands t’avaient pris pour leur divin arcane,
Essayant d’abuser de toi comme Frollo,
Ce maudit religieux. Quant à Quasimodo,
Il t’avait éloignée de l’univers tzigane.
Phœbus de Châteaupers aimait tes cheveux d’or,
Mais toi, de ton côté, tu l’aimas d’amour fort ;
Ton destin traversa l'église Notre-Dame.
Tu aurais pu revoir, grâce au petit soulier,
Phœbus, ton cher amant. Hélas, c’est au gibet
Que tu mourus. Quel regret ! Reviens-nous, chère âme !…
Claude Marmet
Jeudi 8 Novembre 2012
Poème déposé
Tous droits réservés
Toile peinte par Marie-José BINI
04 juillet 2012
Déjà une bonne nouvelle du matin que je partage ici ! La suite à l'instant 16:25 !
le téléphone vient de sonner
Marilyn
soutenait son mémoire ce matin
&
c'est tout bon
elle n'a eu que des compliments
qu'elle méritait
je tairai la bonne note par discrétion pour elle
BRAVO
maintenant il reste encore à attendre le 9 juillet mais avec plus de sérénité pour le résultat final CAPES
!
images du web
nous n'aurons pas à attendre le 9 juillet
les résultats sont là
Marilyn a réussi
&
avec un bon classement
elle vient de m'appeler en pleurant de joie
20 mars 2012
Sur une idée de Sonia !
c'est Sonia qui dans un commentaire en a parlé, vous pouvez la rencontrer ici
aussi
en avant / marche pour la Tour de Babel
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_Babel
toutes ces images glanées sur le Web , je ne demande plus d'autorisation n'ayant jamais de réponse
2 autres liens intéressants
http://users.skynet.be/maevrard/esperanto.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_L%C3%A9gende_des_si%C3%A8cles
nous devons tous avoir en nous ou autour de nous une tour de Babel
un jour souhaitons que ce soit le plus tard possible ,
elle s'écroulera
aussi en attendant ,
comme aujourd'hui c'est le Printemps
profitons du moment présent & vive le Printemps