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" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "

14 novembre 2007

Le Chant des partisans


Le Chant des partisans
Vidéo envoyée par creilenmouvement
Le Chant des partisans est l'hymne de la Résistance française durant l'occupation allemande, pendant la Seconde Guerre mondiale. L'idée et l'ébauche de la mélodie du Chant des Partisans sont de la chanteuse et compositrice Anna Marly qui le créa en 1942 à Londres. Elle composa la musique et les paroles originales dans sa langue maternelle. Puis Joseph Kessel et son neveu, Maurice Druon, tous deux auteurs ayant quitté la France pour rejoindre l'Angleterre et les Forces Françaises Libres du Général de Gaulle, et futurs académiciens, récrivirent les paroles, ayant proposé la variante française du texte le 30 mai. Largué par la Royal Air Force sur la France occupée, et écouté clandestinement, ce succès se répandit immédiatement tant en France qu'ailleurs dans les milieux de la Résistance et des Forces Françaises de l'Intérieur. Il se prolongea dans de nombreuses interprétations ultérieures dont celle d'Yves Montand est la plus célèbre. Outre Germaine Sablon, Léo Ferré, Armand Mestral, Marc Ogeret, Yves Montand, Jean Ferrat, Johnny Hallyday et Jean-Louis Murat ont interprété cette chanson que le groupe Zebda a également vaguement adapté sous le nom de Motivés. Créée par la même équipe, la Complainte du partisan a connu un succès populaire en France dans les années 1950[réf. nécessaire] mais s'effaça devant le Chant des Partisans, relancé par André Malraux lors de la cérémonie d'entrée des cendres de Jean Moulin au Panthéon de Paris. Le manuscrit original du Chant des Partisans a été classé monument historique par le ministère de la Culture en décembre 2006.
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14 novembre 2007

Adamo - Tombe la neige


Adamo - Tombe la neige
Vidéo envoyée par phgabin
souvenirs....et aussi pour Dunia, et ceux qui ont déjà la neige !! Gla/Gla..
13 novembre 2007

Ave Maria Gounod instr- Thomaz & William


Ave Maria Gounod instr- Thomaz & William
Vidéo envoyée par WilliamAdrianoBrasil
J'offre cette vidéo à Brigitte, Jos, Jill et ceux qui apprécieront.. Ave Maria (Gounod) instrumental tocada no sax por Thomaz C S & e no teclado por William Adriano, MÚSICAS PARA CASAMENTOS
13 novembre 2007

CARMEN à mon amie Carmen ...(en blanc été 2007)

DSCN5278http://www.dailymotion.com/video/xflpv_carmen-de-bizet_music

Acte Ier

Une place à Séville, entre la caserne des dragons d'Alcala et une manufacture de tabac. Des soldats montent la garde. Leur brigadier, Moralès, voit arriver une jeune fille aux nattes blondes : c'est Micaëla qui cherche son fiancé, le brigadier Don José. Les sollicitations des dragons se faisant trop pressantes elle s'éclipse. On entend les clairons de la garde montante suivie d'un petit groupe de gamins qui jouent aux soldats : « avec la garde montante, nous arrivons, nous voilà... sonne, trompette éclatante, ta ra ta, ta ra ta ta ; nous marchons la tête haute, comme de petits soldats ». Moralès annonce à Don José qu'une « jolie fille est venue le demander », et qu'elle reviendrait... Le capitaine Zuniga, nouveau dans la province, demande à Don José s'il sait ce qu'est ce bâtiment que l'on voit de l'autre côté de la place. C'est, répond le brigadier une manufacture de tabac, où ne travaillent que des femmes. Sont-elles jolies, demande le capitaine. Don José répond qu'il l'ignore car, navarrais, il estime que « ces Andalouses lui font peur », qu'il « préfère éviter le regard brûlant des Andalouses » et il raconte comment il est devenu soldat.

La cloche sonne. C'est l'heure de la pause pour les cigarières de la manufacture qui font l'éloge de la fumée du tabac : « Dans l'air, nous suivons des yeux la fumée qui vers les cieux monte, monte parfumée [...] » Une ouvrière, la plus attendue de toutes ne tarde pas à apparaître, c'est Carmen. Les jeunes gens assemblés demandent à Carmen quand elle les aimera. En guise de réponse Carmen expose sa philosophie de l'amour, quelque peu pessimiste, dans la célébrissime habenara, dont Bizet a emprunté la musique à un recueil de chansons espagnoles d'Yradier : « L'amour est un oiseau rebelle que nul ne peut apprivoiser et c'est bien en vain qu'on l'appelle s'il lui convient de refuser [...] L'amour est enfant de Bohême Il n'a jamais jamais connu de loi Si tu ne m'aimes pas je t'aime si je t'aime prends garde à toi. » Alors qu'elle chantait sa chanson, Carmen a repéré Don José, elle l'aborde et engage avec lui une conversation sur un ton un peu moqueur puis arrache de son corsage une fleur qu'elle lance au jeune homme. « Quelle effronterie », dit le destinataire, qui après quelque hésitation ramasse la fleur qui est tombée à terre, il la respire mais dit : « certainement, s'il y a des sorcières, cette fille-là en est une ».

Arrive Micaëla qui annonce à Don José qu'elle vient de la part de sa mère, elle lui remet une lettre qui conseille au jeune homme d'épouser... la porteuse de la lettre car « il n'y en a pas de plus sage et de plus gentille ». Don José relit la lettre : « il n'y en a pas de plus sage ni de plus gentille ».

Un vif tumulte se produit. On apprend que Carmen « railleuse à son ordinaire » s'est moqué d'une ouvrière, qu'il en est résulté une bagarre et que Carmen a marqué un X au couteau sur le visage de son adversaire. Zuniga interroge Carmen, celle-ci pour toute réponse chante « tra la la la la la la la ». Zuniga fait arrêter la bohémienne et lui promet la prison. Ce sera Don José qui sera chargé de l'y conduire. Carmen commence à embobiner son aimable gardien et chante la séguedille : « sous les remparts de Séville chez mon ami Lillas Pastia j'irai danser la séguédille et boire du Manzilla [...] j'emmènerai mon amoureux mon amoureux ? Il est au diable je l'ai mis à la porte hier mon pauvre cœur est très consolable mon cœur est libre comme l'air j'ai des galants à la douzaine (...) qui veut m'aimer, je l'aimerai. » Et elle dit qu'elle pense à « certain officier qui n'est que brigadier ». Il n'en faut pas plus pour que le trop sensible geôlier délie la corde et laisse s'échapper sa prisonnière.

Acte II

Deux mois plus tard, des officiers se trouvent dans la taverne de Lillas Pastia, repaire notoire de contrebandiers.

Carmen chante la « chanson bohème », accompagnée des deux autres bohémiennes, ses amies Mercédès et Frasquita.

Lillas Pastia déclare que l'heure de la fermeture a sonné, le capitaine Zuniga lui répond qu'il n'est pas dupe de ce qui se passe dans l'établissement après la fermeture.

Zuniga invite les bohémiennes au théâtre, celles-ci refusent. Il invite Carmen qui refuse également, il lui demande si c'est parce qu'elle lui en veut de l'avoir envoyé en prison. Mais Carmen feint de ne pas s'en souvenir. Et Zuniga lui annonce que le jeune brigadier chargé de la conduire s'est fait dégrader et emprisonner pour l'avoir laissé échapper. Mais le soldat vient de terminer de purger sa peine.

On entend des exclamations qui viennent de l'extérieur de la taverne :

« Vivat le le torero Vivat Escamillo. »

Le chœur loue l'intrépidité d'Escamillo qui s'est couvert de gloire aux dernières courses de Grenade. Moralès l'invite et il entre dans l'auberge.

Sitôt entré, Escamillo s'adresse aux officiers :

« Votre toast, je veux vous le rendre Senors, senors, car avec les soldats oui les toreros peuvent s'entendre, pour plaisirs, ils ont les combats (...) Allons, en garde, allons, ah ! Toréador, en garde ! Toréador ! et songe bien, oui, et songe en combattant qu'un œil noir te regarde et que l'amour t'attend. »

Escamillo aperçoit Carmen et lui fait des avances, qu'elle rejette avec une certaine coquetterie.

Les contrebandiers Le Dancaïre et Le Remendado essayent d'embringuer Carmen et ses deux amies dans une opération de déchargement de marchandise sur la côte. Carmen refuse de les accompagner. La raison ? « Je suis amoureuse ». Le Dancaïre : « Voyons, Carmen sois sérieuse ».

De qui Carmen est-elle amoureuse ? Certainement, dit Frasquita de ce prisonnier à qui Carmen a fait remettre une lime et une pièce d'or pour qu'il puisse d'échapper, mais il ne s'en est pas servi. Don José tout juste sorti de prison fait son entrée. Carmen lui demande pourquoi il ne s'est pas servi de cette lime. Le brigadier répond que son honneur de soldat lui interdit de déserter et proclame son amour à celle qu'il retrouve.

Le clairon sonne et Don José doit rejoindre son unité, ce que n'accepte pas Carmen qui le chasse avec mépris :

« Il court, il perd la tête et voilà son amour. » Don José proteste de toute sa force : « la fleur que tu m'avais jetée dans la prison était restée flétrie et sèche cette fleur gardait toujours sa douce odeur. »

Carmen demande à Don José pour lui prouver son amour de le suivre dans la montagne « là-bas si tu m'aimais » avec les contrebandiers. Mais pour Don José, c'est la honte et l'infamie que de déserter. « Non, je ne t'aime plus » lui dit Carmen « Adieu, adieu pour jamais » dit Don José.

Survient le capitaine Zuniga qui entre en faisant sauter la porte et qui prétend user de l'autorité que lui confère son grade pour chasser le brigadier et courtiser Carmen. Don José saute sur son sabre, les contrebandiers désarment le capitaine et le retiennent quelque temps. Zuniga admet son impuissance et tient des propos menaçants à l'égard de Don José.

« Es-tu des nôtres maintenant ? », demande Carmen à Don José, qui piteusement répond : « il le faut bien ». Carmen, les bohémiennes et les contrebandiers promettent à Don José : « pour pays l'univers et pour toi ta volonté ! Et surtout, la chose enivrante : la liberté, la liberté! le ciel ouvert, pour pays tout l'univers. »

Acte III — Premier tableau

Un site pittoresque et sauvage dans la montagne, c'est le repaire des contrebandiers.

Les contrebandiers évoquent la grandeur de leur métier, font une halte et discutent des détails de l'opération. Carmen et Don José se querellent, Carmen dit que son amour n'est plus ce qu'il était, Don José pense à sa vieille mère, Carmen lui conseille d'aller la retrouver, car « décidément, tu n'es pas fait pour vivre avec nous, chiens et loups ne font pas longtemps bon ménage ».

Frasquita et Mercédès tirent les cartes et y lisent un avenir très prometteur, amour, châteaux, bijoux, la bohémienne n'y voit que la mort, toujours la mort, pour elle et pour son amant. Carmen dit qu'elle est sûre d'obtenir la bienveillance d'un douanier, ce qui suscite chez Don José une vive réaction de jalousie. Les trois bohémiennes n'ont pas le moindre doute sur les chances qu'elles ont de faire passer la marchandise : « S'il faut aller jusqu'au sourire que voulez-vous, on sourira, et d'avance, je puis vous le dire, La contrebande passera. »

Accompagnée d'un guide, Micaëla pénètre dans le camp. Elle dit qu'elle n'a pas peur, mais qu'en fait, « j'ai beau faire la vaillante au fond du cœur, je meurs d'effroi. »

Don José qui surveille le camp tire sur inconnu, le manque, cet inconnu n'est autre qu'Escamillo. Escamillo explique à l'apprenti contrebandier les raisons de sa venue. C'est pour obtenir les faveurs d'une belle bohémienne du nom de Carmen, car, il le suppose, elle n'aime plus le soldat qui avait déserté pour elle. « Les amours de Carmen ne durent pas six mois ». Les deux hommes ne tardent pas à s'affronter, Escamillo, un professionnel est sûr de l'emporter, il l'emporte effectivement mais comme il a pour habitude de tuer les taureaux et pas les hommes, il épargne son rival mais glisse et tombe. Don José veut le frapper, entre Carmen qui l'en empêche. Escamillo invite Carmen aux courses de Séville et quand il est parti, Don José lance à Carmen : « prends garde à toi, Carmen, je suis las de souffrir ». Les contrebandiers découvrent Micaëla qui est venue chercher Don José. Sa mère dit-elle, est au désespoir. Carmen encourage Don José à partir, mais l'idée de laisser la place à un nouvel amant est insupportable à Don José. Micaëla annonce, comme dernière parole : « Ta mère se meurt, et ne voudrait pas mourir sans t'avoir pardonné. » Au moment de partir, Don José s'adresse à Carmen : « sois contente, je pars, mais nous nous reverrons. »

Acte IV — Deuxième tableau

Une place à Séville, devant les murs et l'entrée des arènes. Les marchands s'affairent et proposent eau, éventails, lorgnettes, oranges, vin, cigarettes, etc. Le capitaine Zuniga s'étonne de ne pas voir la Carmencita. Frasquita lui dit qu'elle ne doit pas être bien loin, car elle n'est jamais bien loin d'Escamillo. Frasquita s'enquiert de Don José, il a été vu dans son village et a disparu. Frasquita dit qu'à la place de Carmen, elle ne serait pas tranquille du tout.

Entrée de la quadrille des toreros, entrée des chulos et des banderilleros, entrée des picadors, paraît enfin Escamillo accompagné de Carmen, radieuse dans un costume éclatant.

Frasquita et Mercédès enjoignent Carmen de ne pas rester ici. Don José est là. Carmen, leur répond : « je ne suis pas femme à trembler devant lui ».

Don José apparaît, supplie Carmen de commencer une autre vie, proclame son amour. Carmen lui répond : « Je sais bien que tu me tueras, mais que je vive ou que je meure, non, non, non, je ne céderai pas ». « Jamais Carmen ne cédera Libre elle est née, libre elle mourra. »

Retentissent les cris de joie qui saluent le triomphe d'Escamillo. Pour mettre fin aux supplications de Don José, Carmen lui jette la bague que celui-ci lui avait donnée, Don José la frappe à mort et on entend le chœur :

« Toréador, en garde. Et songe bien, oui, songe en combattant qu'un œil noir te regarde et que l'amour t'attend. »

12 novembre 2007

LE PARADIS ....au SUD.....près de Istres.

La Mimi qui fait tout , cette fois dans l'immobilier ....

http://paradisausoleilavendre.over-blog.com

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10 novembre 2007

Je teste ! Je teste ! après le stress ...un autre problème de société.....

orage_en_merCi-dessous le lien surprise....je vais juste joindre une image ou deux et vous dire mon score "21"...

http://www.servicevie.com/02SANTE/Test_medical/Test31032003/test31032003.htmlorage_dans_l_airp_trole_une_denr_e_rarerose_sic.....pour finir sur une note de beauté "roses de Sic" très belle photo, bon week-end à tous .

9 novembre 2007

LE STRESS...

mimi__4_semaines_le_230907Léo Ferré ne vous a guère inspiré.

Peut-être trop pris par vos occupations, votre travail , votre vie quotidienne ?

Alors je vous propose un test à faire et je vous invite si vous le voulez bien à noter votre résultat , dans un commentaire.

Faites part de votre résultat ( sans obligation ....)...je ne jugerai pas !

Je l'ai fait sur un autre blog et mon 1er commentaire indiquera nos résultats : Raymond et Michèle ....

http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Tests/Fiche.aspx?doc=stress_ts

Pour faire le test il suffit de cliquer sur ce lien.

Merci pour votre participation.

6 novembre 2007

Léo-Ferré - Avec le temps


Léo-Ferré - Avec le temps
Vidéo envoyée par Quarouble
Bouleversant !!!!!!! A t'il donc tant souffert pour ainsi savoir dépeindre le desespoir avec une telle émotion ??? Cafardeux , passez votre chemin ..... Version "particulière" qui débute un documentaire dédié à ce Grand Monsieur "Le Talent à fleur de peau" dont l'intégralité figure également en dispo dans les fichiers proposés . Avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va on oublie le visage et l'on oublie la voix le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie l'autre qu'on devinait au détour d'un regard entre les mots, entre les lignes et sous le fard d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit avec le temps tout s'évanouit avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules à la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va l'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien l'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens avec le temps, va, tout va bien avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va on oublie les passions et l'on oublie les voix qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu et l'on se sent glacé dans un lit de hasard et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard et l'on se sent floué par les années perdues- alors vraiment avec le temps on n'aime plus No comment ....... http://www.leo-ferre.com/
6 novembre 2007

La Mygale, reine des araignées d’Australie 2


La Mygale, reine des araignées d’Australie 2
Vidéo envoyée par gazobu
la suite > http://www.dailymotion.com/video/x3655f_la-mygale-reine-des-araignees-daust_animals
5 novembre 2007

Notre France est-elle toujours découpée ainsi .....?

Pour échapper au divorce , je range, je trie, je jette ...difficile pour moi !

Aussi je ne vous ferai par un test de SVT (?) on a beau rôle d'être prof de SVT, d'avoir une formation scientifique...mais durant ma carrière : j'ai chanté, fait de la couture, de la musique , du dessin, des sciences Physiques............................. OUF ! des sciences nats,de la Biologie, de la Géologie mes amours ! mais vous ne devinerez jamais : de......l'instruction civique (oui !!!!).

Aussi un document , petit exercice du soir , à vos réponses...le lot ? pour les meilleurs....un ch'ti canon !france_blog avec "çà" vous voyez ce que c'est d'être certifié(e) en Sciences Naturelles !...

Bon travail grands et petits !

Au fait pour les petits : des mars !! car bientôt "quitter maison"  vacances : fin !

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" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
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