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" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
13 décembre 2010

Des nouvelles du front ...non , juste des nouvelles fraîches de...

terrestre

notre Ami

Olivier SCHIMDT - CHEVALIER

le téléphone sonne ce soir

un parisien qui a gardé

l'accent du midi

il va bien

en bonne santé

mais toujours

pas de connexion internet

quand SFR , ORANGE , FRANCE TELEDECONNE...

transitent dans un même boîtier

y' a ka !

faut kon !

d'abord il faut la clé pour pénétrer dans le boîtier

avant l'heure

ce n'est pas l'heure

après l'heure

y 'a plus personne

ce devait être réglé aujourd'hui

"ben" non

demain peut-être

?

olivier_sc

vous voyez il garde le sourire

http://blogoliviersc.org/

depuis le 21 novembre il est en panne sèche

j'espère que tout va s'arranger au plus vite

pour lui

il a le temps de réfléchir à ses prochaines revues

antenne_gard_b

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13 décembre 2010

citation du jour ...

" la vraie générosité

est de faire

quelque chose de bien

pour quelqu'un

qui ne le saura jamais"

Frank A Clark

11 décembre 2010

Alfred de Musset ..il aurait 200 ans aujourd'hui !

200_ans_alfred_de_mussett2010_ig

La nuit de Décembre

LE POÈTE

Du temps que j’étais écolier,
Je restais un soir à veiller
Dans notre salle solitaire.
Devant ma table vint s’asseoir
Un pauvre enfant vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère
.

Son visage était triste et beau :
A la lueur de mon flambeau,
Dans mon livre ouvert il vint lire.
Il pencha son front sur sa main,
Et resta jusqu’au lendemain,
Pensif, avec un doux sourire.

Comme j’allais avoir quinze ans
Je marchais un jour, à pas lents,
Dans un bois, sur une bruyère.
Au pied d’un arbre vint s’asseoir
Un jeune homme vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Je lui demandai mon chemin ;
Il tenait un luth d’une main,
De l’autre un bouquet d’églantine.
Il me fit un salut d’ami,
Et, se détournant à demi,
Me montra du doigt la colline
.

A l’âge où l’on croit à l’amour,
J’étais seul dans ma chambre un jour,
Pleurant ma première misère.
Au coin de mon feu vint s’asseoir
Un étranger vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Il était morne et soucieux ;
D’une main il montrait les cieux,
Et de l’autre il tenait un glaive.
De ma peine il semblait souffrir,
Mais il ne poussa qu’un soupir,
Et s’évanouit comme un rêve.

A l’âge où l’on est libertin,
Pour boire un toast en un festin,
Un jour je soulevais mon verre.
En face de moi vint s’asseoir
Un convive vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Il secouait sous son manteau
Un haillon de pourpre en lambeau,
Sur sa tête un myrte stérile.
Son bras maigre cherchait le mien,
Et mon verre, en touchant le sien,
Se brisa dans ma main débile.

Un an après, il était nuit ;
J’étais à genoux près du lit
Où venait de mourir mon père.
Au chevet du lit vint s’asseoir
Un orphelin vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère
.

Ses yeux étaient noyés de pleurs ;
Comme les anges de douleurs,
Il était couronné d’épine ;
Son luth à terre était gisant,
Sa pourpre de couleur de sang,
Et son glaive dans sa poitrine.

Je m’en suis si bien souvenu,
Que je l’ai toujours reconnu
A tous les instants de ma vie.
C’est une étrange vision,
Et cependant, ange ou démon,
J’ai vu partout cette ombre amie.

Lorsque plus tard, las de souffrir,
Pour renaître ou pour en finir,
J’ai voulu m’exiler de France ;
Lorsqu’impatient de marcher,
J’ai voulu partir, et chercher
Les vestiges d’une espérance ;

A Pise, au pied de l’Apennin ;
A Cologne, en face du Rhin ;
A Nice, au penchant des vallées ;
A Florence, au fond des palais ;
A Brigues, dans les vieux chalets ;
Au sein des Alpes désolées ;

A Gênes, sous les citronniers ;
A Vevey, sous les verts pommiers ;
Au Havre, devant l’Atlantique ;
A Venise, à l’affreux Lido,
Où vient sur l’herbe d’un tombeau
Mourir la pâle Adriatique ;

Partout où, sous ces vastes cieux,
J’ai lassé mon cœur et mes yeux,
Saignant d’une éternelle plaie ;
Partout où le boiteux Ennui,
Traînant ma fatigue après lui,
M’a promené sur une claie ;

Partout où, sans cesse altéré
De la soif d’un monde ignoré,
J’ai suivi l’ombre de mes songes ;
Partout où, sans avoir vécu,
J’ai revu ce que j’avais vu,
La face humaine et ses mensonges ;

Partout où, le long des chemins,
J’ai posé mon front dans mes mains,
Et sangloté comme une femme ;
Partout où j’ai, comme un mouton,
Qui laisse sa laine au buisson,
Senti se dénuder mon âme ;

Partout où j’ai voulu dormir,
Partout où j’ai voulu mourir,
Partout où j’ai touché la terre,
Sur ma route est venu s’asseoir
Un malheureux vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Qui donc es-tu, toi que dans cette vie
Je vois toujours sur mon chemin ?
Je ne puis croire, à ta mélancolie,
Que tu sois mon mauvais Destin.
Ton doux sourire a trop de patience,
Tes larmes ont trop de pitié.
En te voyant, j’aime la Providence.
Ta douleur même est sœur de ma souffrance ;
Elle ressemble à l’Amitié.

Qui donc es-tu ? ─ Tu n’es pas mon bon ange,
Jamais tu ne viens m’avertir.
Tu vois mes maux (c’est une chose étrange !)
Et tu me regardes souffrir.
Depuis vingt ans tu marches dans ma voie,
Et je ne saurais t’appeler.
Qui donc es-tu, si c’est Dieu qui t’envoie ?
Tu me souris sans partager ma joie,
Tu me plains sans me consoler !

Ce soir encor je t’ai vu m’apparaître.
C’était par une triste nuit.
L’aile des vents battait à ma fenêtre ;
J’étais seul, courbé sur mon lit.
J’y regardais une place chérie,
Tiède encor d’un baiser brûlant ;
Et je songeais comme la femme oublie,
Et je sentais un lambeau de ma vie
Qui se déchirait lentement.

Je rassemblais des lettres de la veille,
Des cheveux, des débris d’amour.
Tout ce passé me criait à l’oreille
Ses éternels serments d’un jour.
Je contemplais ces reliques sacrées,
Qui me faisaient trembler la main :
Larmes du cœur par le cœur dévorées,
Et que les yeux qui les avaient pleurées
Ne reconnaîtront plus demain !

J’enveloppais dans un morceau de bure
Ces ruines des jours heureux.
Je me disais qu’ici-bas ce qui dure,
C’est une mèche de cheveux.
Comme un plongeur dans une mer profonde,
Je me perdais dans tant d’oubli.
De tous côtés j’y retournais la sonde,
Et je pleurais, seul, loin des yeux du monde,
Mon pauvre amour enseveli.

J’allais poser le sceau de cire noire
Sur ce fragile et cher trésor.
J’allais le rendre, et, n’y pouvant pas croire,
En pleurant j’en doutais encor.
Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée,
Malgré toi, tu t’en souviendras !
Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ?
Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée,
Ces sanglots, si tu n’aimais pas ?

Oui, tu languis, tu souffres, et tu pleures ;
Mais ta chimère est entre nous.
Eh bien ! adieu ! Vous compterez les heures
Qui me sépareront de vous.
Partez, partez, et dans ce cœur de glace
Emportez l’orgueil satisfait.
Je sens encor le mien jeune et vivace,
Et bien des maux pourront y trouver place
Sur le mal que vous m’avez fait.

Partez, partez ! la Nature immortelle
N’a pas tout voulu vous donner.
Ah ! pauvre enfant, qui voulez être belle,
Et ne savez pas pardonner !
Allez, allez, suivez la destinée ;
Qui vous perd n’a pas tout perdu.
Jetez au vent notre amour consumée ; -
Eternel Dieu ! toi que j’ai tant aimée,
Si tu pars, pourquoi m’aimes-tu ?

Mais tout à coup j’ai vu dans la nuit sombre
Une forme glisser sans bruit.
Sur mon rideau j’ai vu passer une ombre ;
Elle vient s’asseoir sur mon lit.
Qui donc es-tu, morne et pâle visage,
Sombre portrait vêtu de noir ?
Que me veux-tu, triste oiseau de passage ?
Est-ce un vain rêve ? est-ce ma propre image
Que j’aperçois dans ce miroir ?

Qui donc es-tu, spectre de ma jeunesse,
Pèlerin que rien n’a lassé ?
Dis-moi pourquoi je te trouve sans cesse
Assis dans l’ombre où j’ai passé.
Qui donc es-tu, visiteur solitaire,
Hôte assidu de mes douleurs ?
Qu’as-tu donc fait pour me suivre sur terre ?
Qui donc es-tu, qui donc es-tu, mon frère,
Qui n’apparais qu’au jour des pleurs ?

LA VISION

- Ami, notre père est le tien.
Je ne suis ni l’ange gardien,
Ni le mauvais destin des hommes.
Ceux que j’aime, je ne sais pas
De quel côté s’en vont leurs pas
Sur ce peu de fange où nous sommes.

Je ne suis ni dieu ni démon,
Et tu m’as nommé par mon nom
Quand tu m’as appelé ton frère ;
Où tu vas, j’y serai toujours,
Jusques au dernier de tes jours,
Où j’irai m’asseoir sur ta pierre.

Le ciel m’a confié ton cœur.
Quand tu seras dans la douleur,
Viens à moi sans inquiétude.
Je te suivrai sur le chemin ;
Mais je ne puis toucher ta main,
Ami, je suis la Solitude.
***
ce long poème 
se termine ici 
à-michemin 
par des mots qui me vont bien 
ceux qui n'aiment pas la poésie
vont se lasser 
tant pis
!
un besoin de rendre hommage
à ce grand poète 
portrait_sur_wikip_dia200px_Alfred_de_musset

10 décembre 2010

Homme de terrain , homme du cru , homme du coin ...hommage .

DSCN0407Le Vigneron

DSCN0409DSCN0709

Connaissez-vous ce regard ?

Qui a droit à tous nos égards

Ce n’est pas un jeune premier

Mais combien robuste et tout entier

Il y a quelque chose

Et pour cause

Que son visage soit mince ou rond

Il est vigneron

DSCN0718DSCN0708

Merveilleusement ridé

Comme s’il avait été buriné

Ce regard empreint d’une forte présence

A été sculpté par les exigences

Façonné par la patience

DSCN0423

Il y a une grandeur

Dans ses yeux francs et interrogateurs

Mais comment comprendre

Que de janvier à décembre

Sous cette peau tannée

Parfaitement modelée

Ce regard se modifie

De l’ardeur à la nostalgie

DSCN0705

Il dialogue avec sa terre

Qui de longs mois est sa partenaire

Etant farouche

Elle exige qu’on la touche

Elle peut donner passionnément

Mais ne pardonne aucun manquement

Il y a une profonde compréhension

Dans ce couple parfois en opposition

DSCN3964

Dès le premier soleil

Doucement elle s’éveille

Mais encore elle réveille

La grande saison

Celle du vigneron

Son fidèle compagnon

Cette terre souvent penchée

Doit sans cesse être remontée

Et ce vieux mur

Qui prudemment murmure

Je suis très fatigué

Il faut me consolider

Puis vient ce soupçon de verdure

Merveille de la nature

C’est là que les soins commencent

Qui pour lui sont immenses

Sur cette terre, ce regard prosterné

Veillera sur ce nouveau-né

Qui avide de soleil

Le sortira tôt de son sommeil

Tard il rentrera dans son foyer

Ayant écarté bien des dangers

Parfois la nature se déchaîne

Ayant aussi ses migraines

Malgré sa farouche volonté

Le vigneron doit accepter

Cette terrible circonstance

Qui entre dans la danse

Il a provoqué la fécondité

Et veille sur sa maturité

Qui parfois est compromise

Par une sorte de traîtrise

Vient l’année du Seigneur

Qui ne donne que le meilleur

Une douce bénédiction

Qui entre en communion

Sachant l’apprécier

Sans pour autant s’extasier

Content dans son for intérieur

Il sait auprès de ses interlocuteurs

Le reconnaître tout en dosant l’ampleur

Vers novembre il doit se retirer

Car cette terre capricieuse doit se reposer

Commence alors à la cave une fascinante  mission

Le début d’une intime interrogation

Une véritable confession

Entre lui et le guillon

Alors ces rides durcies par la terre

S’assouplissent dans un mystère

Lachiver

En étroite communauté avec la nature

Il a pu conclure

Un pacte de noblesse

Qui provoque parfois l’ivresse

vignoble

Vous connaissez maintenant ce regard

Qui a droit à tous nos égards

Henri Fayet

un lien local

http://www.cave-belair.com/index.php?categorie_id=25

http://www.ina.fr/divertissement/chansons/video/RBC00008443/marcel-amont-chante-vignerons.fr.html

                                                    

8 décembre 2010

8 Décembre : fête de l'Immaculée Conception .

Bonne fête Marie

à toutes les "Marie"que je connais

à ma maman qui n'est plus là

un lien superbe que je vous offre en partage

avec une image magnifique

&

Si vous avez un peu de temps, allez lire un commentaire d'une protestante sur Marie .

http://www.jardinierdedieu.com/article-la-fete-de-l-immaculee-conception-62567982-comments.html#anchorComment

_6

ce soir à Lyon

Fête des Lumières

a-t-elle le même sens qu'avant

?

http://www.culture.lyon.fr/culture/sections/fr/festivals/grandes_expos__patrimoine/la_fete_des_lumieres

cct0o0d4

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7 décembre 2010

Juste pour toi ....encore Victor Hugo !

non

il ne faut pas

faire un faux pas

je résiste

je publie

pour

au moins une personne qui aime ce poète

celle qui pourrait

être ma fille

née en 1971

j'avais 25 ans l'âge d'être maman

leopoldine

A ma fille

O mon enfant, tu vois, je me soumets.
Fais comme moi : vis du monde éloignée ;
Heureuse ? non ; triomphante ? jamais.
-- Résignée ! --

Sois bonne et douce, et lève un front pieux.
Comme le jour dans les cieux met sa flamme,
Toi, mon enfant, dans l'azur de tes yeux
Mets ton âme !

larmes_bleues
Nul n'est heureux et nul n'est triomphant.
L'heure est pour tous une chose incomplète ;
L'heure est une ombre, et notre vie, enfant,
En est faite.

Oui, de leur sort tous les hommes sont las.
Pour être heureux, à tous, -- destin morose ! --
Tout a manqué. Tout, c'est-à-dire, hélas !
Peu de chose.

yeux_paris

Ce peu de chose est ce que, pour sa part,
Dans l'univers chacun cherche et désire:
Un mot, un nom, un peu d'or, un regard,
Un sourire !

La gaîté manque au grand roi sans amours ;
La goutte d'eau manque au désert immense.
L'homme est un puits où le vide toujours
Recommence.

amour_graffitis

Vois ces penseurs que nous divinisons,
Vois ces héros dont les fronts nous dominent,
Noms dont toujours nos sombres horizons
S'illuminent !

rayons_de_lumi_re_0

Après avoir, comme fait un flambeau,
Ébloui tout de leurs rayons sans nombre,
Ils sont allés chercher dans le tombeau
Un peu d'ombre.

flambeau

Le ciel, qui sait nos maux et nos douleurs,
Prend en pitié nos jours vains et sonores.
Chaque matin, il baigne de ses pleurs
Nos aurores.

Dieu nous éclaire, à chacun de nos pas,
Sur ce qu'il est et sur ce que nous sommes ;
Une loi sort des choses d'ici-bas,
Et des hommes !


Cette loi sainte, il faut s'y conformer.
Et la voici, toute âme y peut atteindre : amour_lamballe_
Ne rien haïr, mon enfant ; tout aimer,
Ou tout plaindre !

Paris octobre 1842

Victor HUGO se rendra sur la tombe de sa fille Léopoldine

en 1846

celle-ci s'était noyée dans la Seine avec son époux en septembre 1843

il a écrit suite à la mort de sa fille

"Demain dés l'aube...."

Jerusalem_Tomb_of_the_Garden

5 décembre 2010

Quand le téléphone sonne...une petite fourmi au bout du fil !

Cahors_pont_Valentre_vgen

Dans la forêt de l’hiver

Dans la neige et le froid

souslaneige

Une chose que personne
N'aurait pu imaginer

mont_e

Le téléphone a sonné
En direct du bois de Cahors
Où vont à toutes les saisons
Tous les marcheurs de la plaine

CarteItineraires

Du nord ou du sud

baton_pelerin_bourdon

st_jacqjpg

Mine de rien :
C'est une révolution, car,

{Refrain:}
Ce matin une fourmi

nfourm4

chagrin_2016

A tué un chagrin

C'était une petite fourmi qui
C'était une petite fourmi qui
Ce matin une fourmi
A tué un chagrin
C'était une fourmi qui
Avait un  grand cœur

_Coquille_50PC

Ils crièrent à la voisinée
Ils crièrent à l'amitié
Comme si c'était justice
Quand ils ont su  que le chagrin

Avait été tué
Et puis devant tout ce vacarme

800px_Cigale_profil

La cigale est venue par curiosité

Mais très vite , se sentant inutile
Abandonnant la fourmi
La cigale s’est sauvée, car,
{au Refrain}

Bien sûr ce n'est qu'une histoire
Inventée pour la bonne raison
Mais chantons-leur cette histoire
Quand les marcheurs reviendront
Et s'ils se mettent en arrêt
Appuyés sur leur bâton de pèlerin

BTON_D_1

Devant la maison de la fourmi
Tout ce que nous pouvons faire
C'est de s'en moquer ainsi:

Marcher et continuer votre chemin

abel9

La route est encore longue

Compostelle

ST_JACQUES_DE_C

Jusqu’à St Jacques de Compostelle
{au Refrain}

Ce matin une fourmi
A tué un chagrin
C'était une cigale qui
Avait perdu sa voix ….

La petite fourmi

A fait un miracle

La voix est revenue

Le chagrin s'est estompé

reflets

nb/ texte modifié par mes soins (ce matin un lapin) photos de Sonia , abel et glanées sur le web




3 décembre 2010

hier , aujourd'hui , demain....des mots , des maux , des fleurs et des papillons pour l'AMITIE !

actinadia7autres_plantes_france_1138300101_1138380

1_handigerbera_347856rose_de_danny_2papilloncarte_virtuelle__poeme_amitie_copie_1

je crois aussi

qu'il faut cesser de gémir

de se plaindre

de se lamenter

la vie

est là

bon gré

mal gré

faisons tomber le mur des lamentations

écroulons les frontières

détruisons les barrières

franchissons ces obstacles

qui

tout

à

coup

nous apparaîssent comme insurmontables

le téléphone sonne

à l'autre bout du fil

une tornade de VIE

Patrick

alors

je me souviens

La vie est une chance, saisis la.
La vie est beauté, admire la.
La vie est béatitude, savoure la.

La vie est un rêve, fais en une réalité.
La vie est un défi, fais lui face.
La vie est un devoir, accomplis le.
La vie est un jeu, joue le.
La vie est précieuse, prends en soin.
La vie est une richesse, conserve la.

La vie est amour, jouis en.
La vie est mystère, perce le.
La vie est promesse, remplis la.
La vie est tristesse, surmonte la.
La vie est un hymne, chante le.
La vie est un combat, accepte le.
La vie est une tragédie, prends la à bras le corps.
La vie est une aventure, ose la.
La vie est bonheur, mérite le.
La vie est la vie, défends la.

ab

&

puis voilà pour moi

il faut imprimer et me placarder ces mots devant mon nez !pat_3_d_cembre1_n

2 décembre 2010

La pensée de ce jour : 2 décembre 2010 .

Benjamin_Franklin_Birthplace_2

Benjamin_Franklin_1767_london_

" Bien fait vaut mieux

que

bien dit ."

Benjamin Franklin

Poor_Richard_Almanack_1739

Us_declaration_independenceBenjamin_Franklin_Signature_svg

1 décembre 2010

Décembre s'installe avec la neige !

Nuit de Neige

neige_1

50215_traces_de_l_homme

La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.

harfang_neiges_361410

neige_2

Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes.
L'hiver s'est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l'horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.

neige_4

La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter.

perce_neige_

Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,
Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;
Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.

balade_dans_neige

Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.

traces_dans_neige

autres_oiseaux_plouvien_france_1134254514_1369994

Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.

bleu_d_hiver

 

auteur : Guy de Maupassant (1850-1893)

&

un lien

d'un peintre que j'ai connu chez sa maman à Beaujeu

http://www.michelperrin.com/retro/peintures.htm

neige_route

fruits_givr_s

                                                                             &

moi dans tout cela

je n'aime pas la neige

Raymond hier au soir a mis presque 4 heures pour rentrer

"X" a dérapé....rien de grave , heureusement !

des cinglés faisaient du "rodéo" dans l'espace vert devenu blanc de notre quartier !!

non : je n'ai pas appelé la gendarmerie !

qui aurait mis trop de temps pour arriver ....

pourquoi de nos jours , la neige devient une calamité sans nom ?

......

bon courage à ceux qui sont obligés de sortir

d'aller bosser

je pense qu'il faut jouer avant tout :

la prudence

"qui veut voyager loin , ménage sa monture "

nb/ photos persos et glanées sur le Web

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" à mi-chemin ...sur les pas de Cybèle "
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