Il était autrefois...nostalgie du bon vieux temps en vrac !

Cette vidéo très belle pour mettre un peu de couleurs ici !

http://www.dailymotion.com/video/x3j50h_le-laboureur-et-ses-enfants_music

Comments

[KlaRA Desgaspard]

Cela me fait pensé à ce petit village de la région des collines, La Hamaide, ou toutes les années on fête les moissons en moissonnant encore à l'ancienne. Et le monde court pour voir ça. Oui, ces photos et la video rendent nostalgique, alors qu'aujourd'hui la terre meure à petite dose. Monsanto, un crime contre l'humanité, contre la planète. C'est marrant, car chez nous, on nous conseille de faire pousser nos légumes si nous avons la plus moindre parcelle de terre et d'un aitre côté, l'on nous dit de ne pas consommé les légumes du jardin car ils contiennent trop de substances nocives. C'est même déconseillé de manger les oeufs des poules qui courent en totale liberté et mangent ce qu'elles trouvent. Affolant d'entendre des trucs pareil. KlaRA.

[Michèle]

Denis vous êtes l'élément modérateur , j'aime bien , il faut des personnes comme vous : des sages, raisonnables qui savent faire la part des choses sans excès.
Merci Denis.

[denis Merlin]

Il ne faut pas idéaliser ce temps.

Ils avaient leurs problèmes, ils avaient leurs erreurs. Nous avons fait des progrès en tout et surtout en matière technique, mais même sur certains points en matière morale. Sur certains points nous avons régressé, je ne le nie pas.

Mais ne pas idéaliser. C'est sûr que l'habillement des paysannes était nettement plus noble, plus élégant que celui des collants ou des jeans d'aujourd'hui. La femme était plus mystérieuse et plus séduisante que celle d'aujourd'hui. Pagnol dit quelque part, qu'il croyait, dans son enfance, que les femmes n'avaient pas de jambes. Il croyait qu'elle se déplaçaient sur "coussin d'air" ;-)).

[Michèle]

Du bonheur d'avoir indiqué ce lien.
Bientôt nous allons nous retrouver...c'est un plaisir chaque année.

[Geneviève]

Pour répondre à Michèle sur l'agriculture morte pour toujours : Certainement nous ne verrons plus ces images mais aujourd'hui, face à un monde de fric, par nécéssité vitale ou par philosophie, ils sont nombreux les "petits" qui commencent à organiser la résistance. Deux ou trois hectares, un peu d'outillage partagé, beaucoup de travail, de sueur, d'imagination, la création d'un réseau, une réapropriation de l'espace et de l'alimentation. Ils ne font pas fortune, ils ne font pas de bruit, ils essayent de rester maitres de leur vie et de leur avenir, hors des subventions, des quotas, des mirages. A nous de les trouver sur les marchés, à nous d'oublier les fraises en février, les tomates en décembre, le plat tout prêt si commode.... Et lorsque nous le pouvons à nous de les aider à trouver les quelques hectares nécessaires qu'il faut arracher face aux promoteurs, aux tenants de l'agriculture industrielle, à la SAFER (!)...
Si vous avez le temps, allez faire un tour : http://www.terre-humanisme.org/ - Dans la grisaille c'est porteur d'espoir.
Bon dimanche à tous!
Geneviève